1. Iris


    Datte: 28/04/2018, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, rousseurs, copains, vidéox, pénétratio, fdanus, jouet, jeu, attache, BDSM / Fétichisme confession, Auteur: Anouchka, Source: Revebebe

    Iris était une amie, une connaissance, une fréquentation, quelqu’un qui a fait partie de mon entourage à une époque. On s’est rencontré lors d’un concours d’entrée dans une école d’art. Le courant est tout de suite passé entre nous. Nous avions seize ans, on partageait la même adrénaline lors de nos escapades de petites voleuses de vêtements dans des boutiques de prêt-à-porter. On se racontait nos aventures amoureuses et d’autres, moins sentimentales.
    
    Nous avions le même goût de l’audace, de la provocation, on faisait une belle paire.
    
    Elle, un peu plus grande et plus ronde que moi avait une chevelure rousse naturelle et magnifique qui lui donnait un charme fou. Le temps nous a mis sur des routes différentes, elle intégrant l’école d’art et moi non.
    
    Bien des années plus tard, les nouvelles technologies permettant de retrouver des amis perdus, nous avons repris contact avec toujours autant d’enthousiasme. Comme si nous nous étions quittées la veille, la complicité était toujours là. Elle était devenue artisan du verre et possédait son propre atelier dans Paris, je fabriquais des bijoux et rêvais d’une entreprise de sextoys. Toutes deux nous nous sommes mises à réfléchir au projet : réaliser des sculptures, des objets de plaisir d’une finition soignée. Je façonnais des prototypes en argile et elle se chargeait de les réaliser en pâte de verre. Le modelage même des sculptures était très stimulant, le contact de l’argile glissante sous les mains qui se promenaient à ...
    ... loisir sur des formes équivoques, la réflexion autour de ce qu’on souhaite sentir en nous, les reliefs, l’angle d’attaque, la prise en main… le côté technique n’en était pas moins inspirant. La confection des ustensiles me rendait très impatiente, l’envie de les utiliser me nourrissait de désir, une ambiance très chaude s’installait dans l’atelier.
    
    Un soir, nous étions chez moi, nous avions bu, fumé, parlé et ri toute la nuit…
    
    Au petit matin, après lui avoir raconté mes expériences avec des femmes et elle, ses péripéties de « professionnelle à ses heures perdues », nous étions pleines de désir, gorgées de chaleur, prêtes à s’ouvrir comme des fleurs. Cette nuit-là nous avons fait l’amour.
    
    C’était beau, intense, magique… Son corps divin était ferme et bien proportionné, ses fesses bien rondes et douces donnaient envie de s’y enfoncer avec délice. Ses seins souples, généreux, étaient les plus beaux que j’aie pu voir jusque là. Les tétons orangés, dressés, serrés appelaient à être pincés ou mordillés… personne n’aurait pu les voir sans les convoiter. Son odeur enivrante me rendait folle, j’avais l’impression de flotter, tel un navire perdu, dans ses cheveux. Ses mots crus, son sourire plein de perversion la rendaient impressionnante et je me laissais aller sous ses mains expertes. Quelle belle nuit nous avions passée, enlacées l’une dans l’autre.
    
    Pour ma part, les expériences avec les filles ne prenaient pas de tournure sentimentale. Cela prenait la forme d’amitiés ...
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