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La correspondante asiate de Marie (4)
Datte: 25/12/2020, Catégories: Hétéro Auteur: marcroomis, Source: Xstory
... doute – même s’il était encore trop tôt pour en être sûr - à obtenir que l’on inflige aux deux policiers des sanctions disciplinaires conséquentes. Elle ajouta que le père avait quitté le poste mais qu’il passerait l’après-midi à l’hôpital pour une vérification complète de son état de santé et quelques soins légers, même si, fausse alerte, ni son coude ni son doigt n’étaient abîmés. * L’idée de faire l’amour pendant les règles répugnait les deux jeunes gens. Pourtant, les escapades nocturnes de Samaryl continuèrent jusqu’à sa dernière nuit au manoir. Les amoureux avaient goûté au plaisir simple de se prélasser l’un dans les bras de l’autre et semblaient ne plus pouvoir s’en passer. Quand la belle Indonésienne se glissait en nuisette dans la couche de son amant, elle commençait toujours par le soulager de ses érections douloureuses. Elle le branlait doucement en l’embrassant avant de le sucer en lui caressant les couilles et le sillon des fesses. Elle adorait mordiller tendrement l’énorme saucisse et la sentir palpiter dans sa bouche. Quand le garçon jouissait, elle avalait goulûment le sperme et serrait les cuisses pour profiter au mieux de la sensation de chaleur qui embrasait son bas-ventre. Elle aurait voulu pouvoir se toucher, mais la perspective de se mettre du sang sur les doigts ne l’enchantait guère. La veille de son départ, elle lui administra une dernière fellation. Ce ne fut pas une sucette d’anthologie : Jean-Edouard n’avait pas l’esprit à ça et ...
... crachota seulement quelques gouttes de foutre. Lors du dîner, son père s’était comporté en tyran. Tout avait commencé quand le jeune homme avait exprimé son désir d’accompagner Samaryl à l’université, d’où partait le bus des étudiants étrangers pour Paris et ses aéroports. — Pas question ! avait rétorqué Mr Ghuilemins. Samaryl est notre invitée à tous. Nous la reconduirons tous les quatre ! Le chef de famille avait asséné un coup de poing sur la table, léger mais néanmoins suffisant pour faire tinter la vaisselle et sursauter les autres. — Mais voyons chéri, avait répondu son épouse, tu sais bien que je n’aime pas les séparations, je vais encore pleurer comme une fontaine ! — Alors Jean-Edouard te tiendra compagnie, c’est aussi le rôle d’un fils de soutenir sa mère dans les moments difficiles. Le garçon l’avait foudroyé du regard. Mais le père s’était contenté de l’ignorer et avait adressé à Samaryl son sourire le plus étincelant : — On ne va quand même pas me priver de reconduire l’adorable correspondante de ma petite Marie chérie … En réalité, le sort de Samaryl lui importait peu. Son désir sexuel à son encontre s’était métamorphosé en un monstre de haine. La laisser aller à Bordeaux en stop avec ses sacs et sa valise de trente-neuf kilos ne lui aurait posé aucun problème. Mais le plaisir de lui gâcher ses derniers instants avec Jean-Edouard était irrésistible. Ce soir-là, Jean-Edouard était donc particulièrement contrarié et presque en colère contre ...