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La correspondante asiate de Marie (4)
Datte: 25/12/2020, Catégories: Hétéro Auteur: marcroomis, Source: Xstory
... parfaitement droit, le léger duvet qui recouvrait sa poitrine désormais trempée de sueur et bien sûr sa bite bien droite, presque trop grosse et pourtant très douce. Elle eut un nouvel orgasme encore plus puissant que le précédent et poussa un hurlement. Ses fesses claquèrent à plusieurs reprises contre le ventre du garçon qui se retira terrassé à son tour. Une giclée écarlate éclaboussa les draps. Puis un jet de foutre épais. Sperme et sang menstruel. Les couleurs du drapeau indonésien. Jean-Edouard adressa à Samaryl une parodie de salut militaire en riant comme un dément … * Un rayon de soleil venait frapper le grand mur vierge contre lequel était appuyé le lit circulaire. Une lumière aveuglante s’était répandue dans toute la pièce. Jean-Edouard s’étira longuement en faisant glisser les draps pour contempler le corps endormi de sa belle amoureuse. Il caressa son dos du bout des doigts pour ne pas la réveiller, puis alluma son téléphone d’un autre âge pour prévenir sa mère qu’ils étaient sains et saufs et toujours chez ce vieil Alain. L’écran indiquait 10h32 et neufs appels et cinq messages en attente : de Marie et depuis le téléphone de la maison. Affolé, le garçon se redressa brusquement, convaincu qu’un malheur était arrivé. Sa peste de soeur ne l’appelait jamais. Encore moins entre minuit et quatre heures du matin ! Fébrile, il composa le numéro du manoir. Marie décrocha dès la troisième sonnerie et lui hurla dessus : — Mais où étais-tu bon sang ? Tu as un ...
... portable ce n’est pas pour le laisser éteint ! Maman est partie chercher Papa au commissariat ! Une histoire de fous ! Des cons de flics l’ont contrôlé. Il n’avait pas ses papiers. Ils n’ont rien voulu savoir. Alors il s’est énervé. Tu le connais. Ils ont failli l’électrocuter avec leurs tasers. Papa ! L’électrocuter ! Finalement ils l’ont embarqué. Ils lui ont cassé un doigt et déboité le coude. Et maintenant ils l’accusent de violences ! Oh mon Dieu ! Elle éclata en sanglots et supplia son grand frère : — Rentre Jean-Edouard ! S’il te plaît ! Je suis toute seule et j’ai peur ! N’écoutant que son sens du devoir, il promit à Marie d’arriver au plus vite. Il raccrocha et réveilla Samaryl en lui secouant l’épaule. Il lui résuma la situation en quelques mots et lui demanda de se préparer pendant qu’il allait chercher la voiture. Moins d’une heure plus tard, la 206 pénétrait à toute allure dans l’enceinte de la propriété. Marie les accueillit dans la cour. Malgré ses traits ravagés par la fatigue et l’angoisse, elle avait retrouvé sa morgue de petite bourgeoise capricieuse. Elle leur reprocha le temps qu’ils avaient mis à arriver et encore une fois d’avoir été injoignables pendant toute la nuit : — C’est valable pour toi aussi Samaryl, je t’ai appelée trois fois, mais rien ! Pas de réponse ! Puis elle expliqua d’un ton désagréable que fort de ses relations au sein de l’élite bordelaise, Mr Ghuilemins allait échapper à tout tracas judiciaire et parviendrait sans ...