L'homme à la moto
Datte: 28/04/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
magasin,
préservati,
pénétratio,
occasion,
Auteur: Xuodid, Source: Revebebe
... son pieu bien raide ; le plaisir m’envahit, se diffuse en moi.
Je sens les giclées monter ; les spasmes me font vaciller.
Mon orgasme est rejoint par le sien. Il continue avec lenteur de me transpercer.« Il a encore de la ressource ! » me dis-je. Je l’invite à se retirer. Il me demande de remettre le pull.
— Je n’ai pas froid, tu sais !
— Ça ne fait rien, tu es encore plus excitante avec.
J’aime beaucoup la douceur de mes laines sur ma peau, surtout celle de l’angora. À la maison, je me suis même tricoté un pyjama en angora pour quand il fait froid l’hiver et que je suis seule. Je n’ignore pas le côté sensuel de ce qui est doux, mais ne pensais pas que cela puisse exciter sexuellement à ce point certains hommes, du moins les hétéros. J’avais encore une fois la preuve dusex appeal que cela leur évoque. Trouvant le mohair légèrement picotant, je préfère attraper le cardigan gris, m’en revêts pour son plaisir et lui tends un nouveau préservatif, car le sien est plein et que son magnifique garde-à-vous est encore plein de promesses pour la suite.
J’ai devant moi mieux qu’un fantasme de fétichiste : je vis la situation de mes désirs. Elle y prend plaisir, moi encore plus.
Visiblement, le petit chéri est tout retourné, et son ardeur bien plantée entre ses jambes m’attend. J’attrape une pelote et la glisse comme une housse sur son sexe qu’il n’a pas encore gainé du latex. Je commence à le branler ; la laine se mêle au sperme encore présent.
L’angora me flatte ...
... le prépuce. La coquine est experte à la manœuvre. Elle est à genoux devant moi. Mes mains glissent dans sa chevelure. De l’autre main, avec l’autre pelote, elle me flatte les testicules et la raie des fesses. C’est trop bon, mais je me soucie d’elle et la relève, retire la pelote souillée pour enfiler quelque chose d’étanche afin de la prendre par derrière, debout face à la table où elle s’appuie. J’enfonce mon dard entre ses fesses écartées.
Là, il est à fond. Il me caresse les fesses avec le fond du cardigan pendant qu’il me lutine.« Vas-y avec ardeur. Montre-moi que tu m’aimes ! »
Elle est sublime. Sa chute de reins sous ce beau pull ondule. Sa chair, sous mes coups de boutoir, est parcourue de l’onde de ses chairs bousculées. J’imagine ses seins suivre le mouvement dans la douceur ouatée de la laine angora du cardigan ; quelle magnifique caresse cela doit être, ses deux organes nourriciers dont les pointes effleurent par va-et-vient la douceur des mailles. Je voudrais être multiple ou doté de plusieurs bras pour la plurimanipuler, pour son plaisir, sa jouissance. À défaut, elle compense d’elle-même et se doigte en tortillant son cul magique avec sa belle rondelle étoilée que je n’ose troubler…
La douceur de l’angora et la vigueur de sa charge font merveille ; j’en lâche mon clitoris enflammé et m’abandonne au plaisir.
J’éjacule à nouveau. Sans nous désaccoupler, à reculons, nous tombons sur le divan, l’un contre l’autre, l’un dans l’autre, dans le relâchement ...