1. L'homme à la moto


    Datte: 28/04/2018, Catégories: fh, inconnu, magasin, préservati, pénétratio, occasion, Auteur: Xuodid, Source: Revebebe

    ... grande où sont stockées des montagnes de pelotes de laine, une table, un divan et une kitchenette.
    
    — Je ne sais pas les motivations profondes de ta présence dans cette boutique, mais nous allons faire en sorte qu’aucun de nous ne soit déçu.
    
    Finaude, elle se doute que j’ai un lien particulier avec l’angora/mohair. Elle s’avance et m’enlace avec fougue. Je la serre contre moi, lui caresse le corps à travers le chaleureux mohair. Elle paraît aussi excitée que moi. Elle se dégage, enlève le pull, le jette sur la table et dégrafe son soutien-gorge, découvrant une poitrine somptueuse. Je prie pour qu’elle remette le pull.
    
    Visiblement, mes seins font leur effet. Je m’avance et lui dégrafe le pantalon de crainte que sa belle érection ne vire à la congestion. Il enlève son blouson et le reste puis baisse pantalon et slip, laissant une réputation respectable le précéder d’au moins vingt centimètres. Je me déshabille complètement moi aussi et nous voilà comme Adam et Ève. J’attrape un préservatif dans mon sac à main. Je me colle à lui. Il me saisit la tête, caresse mes cheveux, me sourit. J’apprécie. J’enfile le condom sur sa turgescence. Je recule et m’assois sur la table.
    
    Il me renverse sur le pull, attrape les manches et me caresse les seins qui pointent. Le mohair est un précieux allié : sa douceur vaporeuse ne fait pas écran entre mon corps et ses mains. Ainsi il me pelote, me matant de ses yeux de braise, puis ses mains glissent vers mon ventre, libérant ma poitrine ...
    ... pour que ses lèvres s’y portent à bouche-que-veux-tu.
    
    Je lui prends la tête et le guide alternativement d’un téton à l’autre, caressant ses cheveux sombres, l’invitant à poursuivre longtemps ainsi. Je passe mes jambes autour de sa taille. Sa verge se frotte contre ma chatte.
    
    Je me redresse, j’attrape deux pelotes des plus douces et lui parcours l’intérieur des cuisses avec. Elle relâche ses jambes ; je m’agenouille et lui honore la fente avec la laine angora, douceur aérienne du fil fleuffé sur zone sensible pour l’amener au ciel. Son clitoris proéminent en est tout flatté. Elle mouille maintenant comme une fontaine appelant l’assoiffé.
    
    Le bougre s’y prend bien. J’adore que l’on me face minette, et ses allées et venues avec les pelotes le long de mes cuisses me ravissent. Sa langue se fait plus intrusive dans ma vulve. De mon doigt enduit de salive, je me tripote le clito.« Vas-y, lèche-moi mon loup, lèche-moi… »
    
    Je n’en peux plus, il faut que je me branle. Sans cesser de la lécher, je commence ma petite entreprise en dépit du latex. La voilà qui gémit. Je me redresse et me présente devant le meilleur ami de l’homme : le vagin désireux et offert d’une femme. Je me glisse dans son intimité encore plus douce et chaude que la plus douce et chaude laine. Je lime doucement, tout au plaisir de l’instant. Elle a fermé les yeux, tout en continuant de jouer avec son mont de Vénus. Elle est sublime.
    
    Il m’empale, me laboure, me perfore les reins avec douceur et fermeté de ...