1. L'homme à la moto


    Datte: 28/04/2018, Catégories: fh, inconnu, magasin, préservati, pénétratio, occasion, Auteur: Xuodid, Source: Revebebe

    ... angora, c’est encore plus doux et aérien, plus délicat aussi.
    
    Je lui tends le pull mohair :
    
    — Tenez, touchez le mohair pour commencer, c’est très agréable.
    
    Ou c’est une oie blanche et si je m’avance trop je vais prendre un râteau, ou elle m’allume ! Je touche le pull, c’est la première fois que j’en touche un d’aussi doux. Elle doit remarquer que suis tout ému. Ma main fouille la laine, c’est voluptueux.
    
    Ce gars est bizarre. Beau gosse avec ses yeux outremer qui m’envisagent de haut en bas et regardant mes lainages comme s’il s’efforçait de contenir une émotion. Je suis divorcée depuis un an, après quatre ans de mariage avec un homme merveilleux qui se révéla très vite aussi macho que jaloux, mais qui lui, je l’appris un jour, ne se privait pas de fréquenter d’autres femmes… Autant vous dire que désormais les mecs, ce n’est pas parce que je suis preneuse de vingt centimètres de saucisse que je suis prête à acheter le porc en entier.
    
    Mais le petit cochon que j’ai devant moi me plaît bien. D’autant que ce sentimental a du mal à masquer, à voir son entrejambe, l’effet que je lui fais, et tant pis pour sa petite amie, si elle existe.
    
    — Elle fait quelle taille, l’élue de votre cœur ?
    — À peu près comme vous, mais comment dire, moins en valeur par endroit.
    
    « Toi, j’espère que tu sens pas trop le cambouis et l’indice d’octane parce que je projette de te faire monter dans les tours… »
    
    — Voulez-vous que j’enfile celui en mohair que vous puissiez juger de son ...
    ... effet ?
    
    Me prenant le pull noir des mains, elle disparaît derrière un paravent.
    
    J’enlève le cardigan et le mets sur le haut du paravent en lui suggérant de le toucher pour se faire une idée sur la laine angora, et j’enfile le mohair.
    
    Sans me faire prier, je me saisis du cardigan. Il est encore plus doux que l’autre. Sans attendre son invitation, je contourne le paravent au moment où elle étire le pull sur ses hanches. Elle me regarde droit dans les yeux sans ciller et me laisse approcher. Je la saisis par la taille.
    
    — Laissez-moi voir si vos lèvres sont aussi douces que vos lainages !
    
    Je le laisse faire, gonflant d’instinct ma poitrine. Il se penche sur moi et me baise les lèvres tendrement, ses mains parcourant mes hanches, il me serre contre lui. Je sens son sexe tendu comme un arc. Il m’enlace complètement à présent et ma bouche s’ouvrant, nous parlons le même langage. Après un long et délicieux moment, notre étreinte se desserre.
    
    — Je me demande ce qu’en penserait votre petite amie ?
    — Qu’il faut prendre les bons moments quand ils viennent, de peur qu’ils ne s’enfuient.
    — Ne bougez pas ; il se fait tard, je vais fermer la devanture.
    
    Je la regarde aller baisser le rideau d’une belle démarche à peine chaloupée ; ses pattes de derrière sont les élégants supports d’un fessier désirable. Sitôt fermé, elle revient vers moi. Elle a perdu de son assurance, elle a rougi un peu, me prend par la main et m’entraîne vers l’arrière-boutique. C’est une pièce assez ...
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