Enfin libre
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
prost,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... emploi, tu n’as pas de métier ? Comment vas-tu vivre ? Tu n’y as pas pensé. Sais-tu comment je gagne ma vie ? Cet après-midi je viens de baiser une vieille de soixante balais, je l’ai envoyée au ciel je ne sais combien de fois. Et j’ai encaissé deux cents euros. C’est avec cet argent que tu manges.
— Je comprends maintenant pourquoi tu es un champion pour la baise. Mais moi je n’accepterai jamais de faire comme cette fille.
— Mais, c’est une actrice. Tu n’arriveras sûrement jamais à l’égaler. Mais sans aller jusque-là, c’est un moyen de gagner sa vie. Et beaucoup de femmes, de toutes classes sociales le font, pour assurer les fins de mois ou se payer des fantaisies, ou bien des étudiantes pour payer leur scolarité. La plupart du temps c’est sur rendez-vous, avec des hommes très convenables. Et sans réaliser les exploits de cette star.
— Moi, je préférerais crever de faim plutôt que de faire la pute.
— Très bien, c’est ton choix. Tu comptes partir quand ? Parce que je ne vais pas te nourrir gratuitement éternellement.
Interloquée, Sandra réalise qu’elle est tombée sur un type dégueulasse qui ne l’a pas draguée pour rien. Il se prostitue et m’incite à le faire. Je vais le quitter dès ce soir. Oui, mais pour aller où ?
— Pour ce soir, je veux bien te garder. Cette nuit tu réfléchiras à ce que tu veux faire, tu me diras demain ce que tu as décidé. Coucher avec un homme correct, ce n’est pas terrible. D’autant que tu le fais souvent gratuitement avec n’importe qui, à ...
... commencer par moi. Bon, assez discuté, allons manger.
Pendant le dîner, elle n’a pas dit un mot. Eddy, par contre a parlé de tout et de rien, ne faisant aucune allusion au sexe. Après le café, il est allé au salon.
— Je vais voir un film, un peu osé. Mais qui n’a rien à voir avec celui que tu as regardé cet après-midi.
Ne sachant comment opérer une retraite vers la chambre, Sandra, debout, suit le début de la projection. Il s’agit d’un film soft, genre policier, la recherche d’un violeur. L’intrigue est assez banale, quelques scènes d’action, pas mal de scènes dénudées, d’autres très bien suggérées de fellation et une de coït, mais restant dans les limites de la décence.
Inconsciemment, elle suit le déroulement du film, s’assied à côté d’Eddy. Celui-ci, subrepticement, glisse son bras derrière la tête de sa compagne et bientôt lui caresse le sein. Elle se tourne vers lui, il l’embrasse avec beaucoup de fougue. C’est fini, elle est perdue. Le magnétoscope est arrêté, départ vers le lit.
Cette nuit encore a été merveilleuse, le réveil aussi délicat.
Le matin, Eddy n’a pas soulevé le problème du départ, mais Sandra n’a cessé d’y songer. Comme la veille, après le déjeuner, il lui a dit qu’il sortait.
— Alors tchao. Quand tu partiras, tire la porte, elle se verrouillera toute seule. Si tu te décides à rester, il faudra alors avoir ce soir une discussion sérieuse sur la façon de payer ta pension.
C’est un ultimatum : tu pars ou tu fais la pute. Elle a réfléchi ...