Enfin libre
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
prost,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... crie son bonheur. Enfin c’est l’explosion au plus profond d’elle-même. Elle s’effondre les bras en croix.
Gentiment, il parsème son corps de baisers légers. Le paradis existe se dit-elle, j’y suis, avant de sombrer dans le sommeil.
Une odeur de café la tire de son rêve enchanteur. Il est là, souriant, le plateau à la main, café et croissants.
— Bonjour, est-ce que tu as bien dormi ? lui demande-t-il.
— C’est la plus merveilleuse nuit de mon existence. Jamais je n’avais ressenti un tel bonheur ! Tu es l’homme parfait, celui que j’attendais.
— Je suis heureux de t’avoir donné du plaisir, que j’ai d’ailleurs partagé. Tu es une fille très belle, très sympathique, mais je n’osais pas te le dire pendant la soirée. Si je ne craignais de paraître importun, je te baiserai encore volontiers ce matin.
— Viens vite, mon amour.
À nouveau il l’a menée au septième ciel. Ils ont bu le café froid, mais n’y ont pas prêté attention.
Le matin, elle est allée chercher sa valise chez ses copains. Il a préparé le repas, elle a un peu participé mais l’a surtout regardé. Il est beau, souriant, décontracté. Ils ont déjeuné, elle attendait avec impatience le moment de la sieste afin de connaître à nouveau le bonheur.
— Cet après-midi, je sors, je suis occupé. Je ne rentrerai qu’en fin de soirée. Va te promener ou bien reste ici. Il y a quelques revues, la télé ou des disques.
Une peu dépitée, elle s’est pourtant raisonnée : bien que ce soit dimanche, il doit aller travailler. ...
... Quelques minutes plus tard, il est sorti de la chambre, habillé avec élégance mais pourtant décontracté : une véritable gravure de mode.
— À tout à l’heure.
La porte s’est refermée. Elle a d’abord mis un peu d’ordre dans la maison, puis s’est plongée dans les revues, masculines, illustrées de voitures et de filles dénudées. Un peu lassée, elle a allumé la télé. Un match de tennis, des jeux stupides, des informations.
Tiens, un magnétoscope. Il y a une cassette engagée. Elle la lance. Stupeur ! C’est un film pornographique avec des scènes carrément sado. La fille supporte les assauts de trois hommes, dans toutes les positions, est pénétrée par tous ses orifices. Scotchée malgré elle, elle suit la déchéance de cette femme qui pourtant semble y prendre plaisir. Elle est choquée, mais ne peut détacher son regard de l’écran.
C’est l’ouverture de la porte qui la tire de cette fascination.
— Bonsoir. Ah je vois que tu as regardé une cassette. J’en ai toute une collection comme ça. Elle est drôlement forte la fille.
— C’est… c’est franchement dégueulasse. Tu te rends compte tout ce qu’ils font à la fille ? C’est une esclave !
— Mais non, elle est d’accord, c’est son travail. Elle est royalement payée pour un film comme ça. C’est un moyen de gagner sa vie sans trop se fatiguer.
— Ne me dis pas que tu es d’accord avec ça.
— Attends, lui dit-il sèchement, et toi, comment vas-tu faire ? Tu n’as pas de situation, pas droit au chômage ni au RSA. Et tu espères trouver un ...