Enfin libre
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
prost,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... remercie de me prévenir. Mais ma fille a vingt et un ans, elle est majeure et peut agir librement, je ne la tiens pas prisonnière.
— Je le sais, mais je ne voulais pas que vous vous inquiétiez.
— Merci de votre délicatesse. Sandra, si tu veux, tu peux y aller.
Époustouflée par l’audace de Laurent, elle ne peut qu’acquiescer. Difficile d’expliquer à son père quelles sont leurs relations. Elle monte rapidement changer de robe.
— À dimanche soir, lui a dit son père.
Ils sortent et partent en voiture. La soirée est tiède, pour profiter de l’air, ils roulent les fenêtres ouvertes, mais restent silencieux pendant le trajet. À leur arrivée, les chiens accueillent l’auto avec des jappements de joie. Ils entourent Laurent, se frottant contre ses jambes, ignorant Sandra.
Dans la salle commune, une table est préparée avec deux couverts.
— Viens donc manger, je ne veux pas être obligé de me lever la nuit parce que tu aurais faim, lui dit-il.
Ce ton de commandement l’a surprise. Mais elle allait le faire payer, elle était une pute. Elle serait à sa disposition.
— D’accord, mais auparavant je veux mon pognon.
Il sort son chéquier, remplit le formulaire et le lui donne. Elle le range soigneusement.
— Voilà, maintenant tu es a moi pour deux jours, jusqu’à dimanche soir.
— D’accord, j’en ai l’habitude. Sois tranquille, mes clients sont toujours satisfaits.
Ils ont mangé en silence, elle n’a pu croiser ses yeux. Après le repas, il a desservi la table. Puis se ...
... levant, il lui a dit :
— Maintenant, au lit.
Suivant le couloir, il s’arrête devant une porte, c’est la chambre où elle va officier. Après avoir refermé, il s’approche d’elle, l’enlace et veut l’embrasser. Elle détourne la tête, refusant le baiser.
— Non, pas de baiser, une pute n’embrasse jamais, du moins sur la bouche.
— Mais je ne te considère pas comme une prostituée.
— Si, tu m’as payée, je te dois une prestation. Commençons. Tu veux que je te déshabille, ou on commence par moi, tu as le choix.
— Je veux que tout se déroule comme si nous étions un couple normal. Laisse-moi te déshabiller.
Avec des gestes doux il commence à la dépouiller. Sandra se laisse faire et bientôt se prend au jeu. Quand il l’a mise nue, il la couche dans les draps entrouverts. Rapidement il se met dans la même tenue.
Bon dieu ! Qu’il est beau. On ne le croirait pas sous ses habits de paysan. Et en plus, rudement bien monté. Ce va être un régal pour peu qu’il ait la technique.
Il s’allonge à côté d’elle, entreprend de lui baiser le visage puis les seins. En bonne professionnelle, elle lui saisit le sexe. Mais il enlève la main féminine, il veut opérer comme avec une femme qu’il aurait séduite.
Sa langue virevolte autour du mamelon. C’est vraiment agréable, il est compétent. Puis sa tête glisse le long du corps et vient s’attaquer à la fourche. Il commence à la lécher. Vieux réflexe de professionnelle, elle pivote afin de lui rendre la politesse. Surpris, il la laisse pourtant ...