Enfin libre
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
prost,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... la pute et Eddy était mon mac. Maintenant je suis indépendante, je n’ai plus d’homme. Vous voyez que vous n’aviez pas tort, et inutile de vous faire de souci.
— Je ne connaissais pas tous les faits, ce qui expliquait mon ton agressif. Je m’excuse encore.
— Merci. Maintenant il me faut rentrer, il va faire nuit et je n’aime pas rouler dans l’obscurité.
Elle a enfourché son vélo, est partie.
En route, elle se traite de tous les noms. Elle aurait pu être plus aimable, lui demander de garder le silence. J’espère qu’il ne racontera pas à tout le monde que je suis une pute.
Le vendredi suivant, en fin de service, elle a vu arriver à nouveau Laurent. Il a réglé ses achats et en partant lui a dit :
— Je vous attends dehors.
— Ce n’est pas la peine, nous n’avons rien à nous dire.
— Si, j’ai quelque chose à vous demander. Je vous attendrai.
Cette intervention l’a perturbée. À partir de cet instant, ses gestes ont été automatiques.
Dans le vestiaire, elle se demande comment agir. Demander à une copine de la ramener chez elle, abandonner son vélo, elle le prendrait plus tard. Mais ce ne serait que renvoyer le problème, elle juge qu’il vaut mieux mettre les choses au point avec Laurent, le virer rapidement, elle sera tranquille.
S’avançant le vélo à la main, elle a vu sa voiture arrêtée en bout de l’allée. Il est debout, devant la portière ouverte.
— Que me voulez-vous ? Le juge a reconnu que j’étais innocente. Maintenant j’ai un travail, je vis chez mes ...
... parents, laissez-moi tranquille.
— Je venais vous inviter à aller en boîte ce soir.
— Je n’ai pas envie de sortir avec un plouc. Vous ne savez sûrement même pas danser.
— Plouc ! réagit-il en colère, pourquoi, qui t’a dit que je ne savais pas danser ? Pourtant, moi, je ne t’ai pas traitée de pute !
— Voilà, au moins les choses sont au point, tu es un plouc et moi toujours une pute, nous ne pouvons pas nous entendre, sauf pour une passe peut-être. Mais tu n’en as pas les moyens.
— Si, j’ai suffisamment de pognon pour te payer.
— Mes tarifs sont trop élevés pour toi.
— Qui te dit que je n’ai pas assez d’argent ?
— D’accord, c’est mille euros pour le week-end, tu es d’accord ?
— Mille euros, d’accord.
Merde, il m’a eue. Mais je ne vais pas lui soutirer mille euros après tous les emmerdements que je lui ai provoqués.
— Non je ne veux pas de ton pognon. De plus, je vis chez mes parents et ils m’attendent.
— Je te suis, je veux sortir avec toi, faire la paix.
— Fais ce que tu veux, je m’en balance. J’en ai tellement chié que maintenant je me fous de tout, j’en ai marre.
Excédée, en colère, Sandra part en vélo, il la suit. Arrivée devant l’immeuble, le temps qu’elle descende de bicyclette, il est derrière elle. Quand elle ouvre la porte de l’appartement, il la suit. Son père est surpris de voir un étranger.
— Bonsoir monsieur, je venais vous demander l’autorisation de sortir avec votre fille. Nous passerons probablement le week-end ensemble.
— Bonsoir, je vous ...