1. Florence


    Datte: 23/12/2020, Catégories: ff, jeunes, copains, grosseins, parking, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral nopéné, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... me l’avouer…
    — C’est à moi de te demander par…
    
    Tout à coup, j’ai senti ses lèvres sur les miennes. La surprise m’a empêchée de répondre à son baiser. Elle a décollé sa bouche, et j’ai vu que des larmes coulaient sur ses joues.
    
    — Pour… pourquoi tu m’as embrassée, Flo…
    
    Elle ne m’a pas laissé le temps de répondre. L’instant d’avant, j’étais assise dans mon lit, lui faisant face, et maintenant je sentais son corps écraser le mien, étendu sur mon lit. Elle avait emprisonné ma tête dans son bras gauche. Sa bouche harcelait mes lèvres de baisers, auxquels ma stupeur m’empêchait encore de répondre.
    
    — Pourquoi tu m’as embrassée… pourquoi j’ai pensé qu’à ta bouche tout le temps… réponds-moi, espèce de salope !
    
    J’étais trop abasourdie pour répondre. Elle me plaquait au lit quand j’ai senti sa main droite pétrir mon sein, méchamment. Ses paroles, très douces, ont contredit sa fougue :
    
    — Flo… embrasse-moi encore… je t’en prie…
    
    La surprise, lentement, refluait, laissant la place à une joie qui ne tarda pas à me submerger complètement. Et j’ai enfin répondu à ses baisers, après lui avoir murmuré :
    
    — C’est parce que je t’aime, Jen… je t’aime !
    
    J’ai senti sa langue s’affoler, dans ma bouche, tandis que j’entendais un gémissement délicieux, presque un pleur, qui augmentait mon désir d’elle. Elle ne semblait pas vouloir se rassasier de goûter à ma langue, à mes lèvres, et c’était parfait comme ça : je ne le voulais pas non plus. Pourtant, elle a mis fin à notre ...
    ... baiser.
    
    — Flo, mon amour… montre-moi comment on aime une femme.
    
    Un sanglot m’a traversée : elle m’avait appelée "mon amour" !
    
    Alors je lui ai montré. Tout en dégustant sa bouche, je lui ai fait prendre ma place lentement, et la douceur ne m’a plus quittée. Je lui ai demandé la permission de la déshabiller : elle me faisait encore un peu peur, mais même cela je le trouvais délicieux. Puis je lui ai dit, dans un sourire qu’elle m’a rendu :
    
    — Laisse-moi faire, mon amour.
    
    Je tenais l’amour de ma vie dans mes bras, et chaque parcelle de sa peau a pu goûter aux sentiments qui m’animaient. Je crois qu’elle a joui bien avant que mes lèvres n’atteignent sa chatte : j’avais allumé un milliard de brasiers, au moins, tout le long de son corps. Ma langue avait dégusté sa bouche bien sûr, mais aussi ses tempes, les lobes de ses oreilles, ses carotides, le creux entre ses clavicules. J’avais une faim d’elle tellement immense que je n’ai pas pu m’arrêter en si bon (!) chemin. Ma langue et mes lèvres caressaient ses épaules, ses aisselles, ses biceps, l’intérieur de ses coudes, ses poignets, la paume de ses mains. J’en suis venue à sucer chacun de ses doigts. J’aurais voulu être partout à la fois.
    
    Je l’entendais gémir, crier parfois, et cela ne faisait qu’amplifier mon envie de goûter, encore et toujours, sa peau. Mes mains, mes cheveux, ma bouche… enfin, toutes les parties de moi à même de caresser continuaient de suivre un tracé qui leur était propre. Quand mes yeux se ...
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