1. Florence


    Datte: 23/12/2020, Catégories: ff, jeunes, copains, grosseins, parking, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral nopéné, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... tête, mon cœur et mon ventre. Ce n’était pas tant les photos sur l’écran qui me mettaient dans cet état, que de sentir le parfum de ma coloc’… savoir que ma bouche était à quelques centimètres de sa peau, de même que mes mains.
    
    * J’étais amoureuse d’elle. Mais ce n’était pas ça mon secret… c’était que j’avais "viré" lesbienne, à force de ne tomber que sur des mecs plus ou moins machos, ou qui oubliaient que la tendresse pouvait exister, ou bien, plus simplement, le dialogue, les compliments, les petits cadeaux. Bref, tous ces petits riens qui font que l’on peut se sentir différente des autres filles, à leurs yeux. Peut-être était-ce, tout simplement, arrivé comme ça - on ne peut pas non plus tout mettre sur le dos des mecs ! Oh, je savais bien que mon côté hétéro n’était qu’endormi mais, pour le moment, aucun des garçons qui avaient tenté une approche ne m’avait donné envie.
    
    * Nos rapports étaient, insidieusement, en train de changer, et je crois bien que j’en étais l’unique responsable. Maintenant, on ne pouvait plus voir deux folles passer des nuits entières à rire, à refaire le monde, à dénigrer (pour s’amuser seulement) les mecs… ou à vanter leurs qualités sexuelles, en s’empiffrant de chips et d’orangeade, ou de cola. Dans ces moments-là, il m’arrivait souvent de ressentir un certain réchauffement, quelque part dans ma petite chattoune. Je ne sais pas si elle en ressentait les mêmes effets que moi. Quoi qu’il en soit, c’était fini maintenant et ça me manquait ...
    ... terriblement.
    
    * Alors pour compenser, tout en sachant combien c’était inutile et faux, je me suis mise à chasser, seule de mon côté, les personnes de mon sexe qui voudraient bien de moi.
    
    Jusqu’à il n’y a pas très longtemps, Jenny ignorait cette partie de ma vie. Jamais je n’avais amené une de mes "conquêtes" dans notre appartement. Cela se passait chez elles, ou alors dans des voitures, à l’hôtel, dans la nature, dans des parkings… partout où je pouvais glisser mes mains dans leurs culottes, sous leurs jupes, dans leurs pantalons. Peu importait l’endroit où je me trouvais, il suffisait que je ferme les yeux, pour "presque" croire que c’était sa chatte à elle que je bouffais, son clito que je suçotais… sa mouille que je buvais… sans jamais pouvoir étancher ma soif, parce que ce n’était pas elle que je faisais jouir. Ce n’était pas sa voix qui criait, qui m’encourageait à continuer, à la lécher plus fort, plus vite !
    
    Tout bien considéré, il est impossible qu’elle ne se soit rendu compte de rien. C’est qu’elle est loin d’être conne, ma Jenny ! Ça fait quand même beaucoup d’indices : le fait que je repousse toute avance venant d’un mec, ou que cela fasse des mois, que je n’en ai ramené aucun… ou que certaines nuits, je rentre à point d’heure, sentant la fille à des kilomètres !
    
    * J’étais de plus en plus désespérée… et j’avais si peur de lui parler… et qu’elle me rejette… même si une part de moi savait que jamais elle ne ferait ça.
    
    * Et puis, une de ces nuits-là, je ...
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