Florence
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
ff,
jeunes,
copains,
grosseins,
parking,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
nopéné,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... elle a joui aussi, pendant que les insultes redoublaient. Elle me tirait les cheveux à me les arracher et ça aussi prolongeait mon extase. Sa mouille n’avait pas cessé de couler sur mon nez, mes joues. Et tout à coup, elle s’est mise à me pisser dessus, tandis que sa voix prenait un ton désolé, pour me dire :
— Oh non…
Alors moi, je l’ai exhortée à continuer, en maintenant son bassin dans la même position. Je trouvais ça parfait, comme final.
Et puis, la rivière s’est tarie et elle m’a libérée en se remettant debout. Elle n’osait plus me regarder et moi, je ne la quittais pas des yeux. Je suis restée un moment à baigner dans son urine et sa mouille. Je me sentais plus ou moins heureuse… et un peu perdue. Un long silence a passé avant qu’elle ne me tende la main pour m’aider à me relever. Nos regards se sont croisés et j’ai vu qu’elle était sur le point de pleurer, alors je l’ai prise dans mes bras et lui ai murmuré :
— Merci, ma chérie… merci. C’était super !
Encore un long silence. Alors, j’ai ajouté, tandis qu’elle tremblait dans mes bras :
— Dis… on recommencera, hein ?
— Je ne sais pas… c’est trop… dingue !
— Moi, je veux te revoir !
— Ecoute… tu dois me laisser du temps…
Je sentais son corps s’agiter de sanglots pendant que sa voix prenait un ton geignard et qu’elle se mettait à pleurer. J’ai eu pitié d’elle alors j’ai murmuré les mots que je croyais justes, pour l’aider :
— D’accord. Prends tout le temps que tu voudras… je ...
... t’attendrai.
J’ai attendu qu’elle arrête de pleurer en essayant de la consoler, et je l’ai lâchée. Elle a essuyé ses joues d’un revers de manche, ses yeux sont remontés timidement jusqu’aux miens, mais deux autres larmes ont coulé.
— J… je te demande… pardon.
— Arrête, s’te plaît, ce n’est pas de ta faute… c’est moi qui t’ai demandé tout ça… toi, tu n’as fait que te laisser entraîner par ma folie… Ecoute, je te laisse mon numéro. Appelle-moi, si tu veux, ne serait-ce que pour parler de tout ça… laisse-moi la chance de te montrer que j’ai été folle, et que ça, ce n’était pas moi, d’accord ?
Elle m’a fait un pauvre sourire, ses yeux me montrant toujours toute la désolation qu’elle pouvait ressentir. J’ai récupéré mon sac, ai farfouillé dedans. J’ai pioché mon calepin à l’intérieur, puis ai griffonné mon prénom dessus, ainsi que mon numéro.
— Tiens… je m’appelle Florence, mais toi, tu peux m’appeler Flo.
Elle a eu un petit rire qui a ramené le sourire sur son visage.
— D’accord. Toi, t’auras qu’à m’appeler Florence.
Moi, j’ai carrément éclaté de rire. Et c’est ainsi que nous sommes remontées à l’air libre, après qu’elle eut refermé la cave avec la clé qu’elle avait utilisée pour l’ouvrir, en rigolant comme des folles, accrochées à la rambarde de l’escalier et nous tenant les côtes.
Il était à peu près 2 heures du matin et l’air un peu frais a fait du bien à mes joues brûlantes. Sans doute en était-il de même pour elle. Quand je lui ai dit que j’avais 19 ans, elle m’a ...