Florence
Datte: 23/12/2020,
Catégories:
ff,
jeunes,
copains,
grosseins,
parking,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
nopéné,
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... faisais ce que je fais presque toujours en rentrant… faut dire que la crise était plutôt grave. Je ne sais plus comment la soirée avait dérivé ainsi, mais à la fin, je m’étais retrouvée allongée sur un sol de béton brut, au fond d’une cave. Une fille faisait aller et venir sa chatte sur mon visage, tandis qu’elle immobilisait ma tête en me tenant par les cheveux. C’est moi qui lui avais ordonné d’agir comme ça avec moi. L’alcool que nous avions bu en début de soirée, ainsi que la peine que je ressentais, tout cela m’avait rendue totalement folle… alors, je lui criais de me traiter de salope, de pute, et je retournais lécher sa fente, suçais son clito, pénétrais son vagin de ma langue. Des larmes coulaient de mes yeux, mais je n’en avais cure, c’était exactement ce que je voulais : tuer la lesbienne que j’étais devenue parce que jamais je ne pourrais avoir celle que j’aimais. Et puis, j’ai cessé de lécher la fille qui me chevauchait, alors elle m’a regardée. Elle semblait sur le point de jouir, les yeux fous, la tignasse en bataille. Je lui ai dit :
— Pose ton anus sur ma bouche.
— Hein… quoi ?
— Donne-moi-ton-trou-du-cul !
— Non mais, ça va pas la tête… t’es complètement tarée, ma parole !
J’ai adouci ma voix et je l’ai suppliée :
— Je t’en prie…
Je me suis rendue compte à ce moment-là que je ne connaissais même pas son prénom, alors j’ai enchaîné :
— … ma chérie, laisse-moi te goûter là…
Je la regardais comme j’aurais regardé Jenny, si j’avais osé… comme ...
... si j’étais amoureuse de ma "cavalière". Elle a paru réfléchir un court instant, puis son regard a changé, ses joues ont retrouvé de la couleur, et elle a avancé son bassin de quelques centimètres. Tandis que ma langue goûtait pour la première fois à son anus, elle ne m’a pas quittée des yeux. Elle a exhalé un long soupir tremblant, et a retrouvé instantanément son excitation. Ses yeux se sont fermés mais se sont rouverts quand elle a entendu :
— Continue de m’insulter, j’adore ça !
Pendant un court instant je n’ai entendu que ses halètements, et les bruits que faisaient ma langue et ma bouche, puis des cris se sont fait entendre, et les insultes sont revenues. Et moi je jouissais de me faire traiter de salope, de truie, de bouffeuse de merde : c’était exactement ce que je voulais entendre, et que je ressentais de moi-même. J’ai réussi à libérer un de mes bras et j’ai commencé à branler son clito. Mon inconnue laissait échapper des cris, des rugissements, entrecoupés de :
— Oui… continue de me bouffer le cul, sale truie… t’aimes ça, hein… enfonce ta langue à l’intérieur !
Je sentais les effets d’un orgasme dévastateur monter en moi, sans même que je me touche, juste à entendre ses mots d’encouragement (!), et quand elle s’est mise à baver et qu’un filet de salive est tombé entre mes deux yeux, celui-ci m’a submergé. Il a duré un moment infini. Je continuais de pousser ma langue dans son rectum en criant, mon corps tressautant dans un rythme qui lui appartenait, et ...