Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (10)
Datte: 22/12/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: bobby29, Source: Xstory
... maison, l’univers…
Adonis… Adonis… Je sens ta présence… Tu es là ? Je sens ton regard. Tu nous as vues. Tu sais ! Regarde bien, comme elle est belle ! L’as-tu déjà vue nue ? Elle est là, elle se prépare, bientôt elle sera à toi, toute à toi… Regarde son sexe qui danse sur le mien. Sa toison qui se fond dans la mienne. Ses beaux seins clairs, ses tétons roses dardés, tout son corps arqué, sa bouche épanouie qui dit son plaisir... C’est une déesse. Son corps est fait pour ça. Vas-y, branle-toi mon beau pêcheur ! Ta belle queue dressée. Elle est en moi et en elle, nous n’avons plus qu’un seul sexe. Tu nous transperces. Je te regarde. Je t’ai vu derrière le volet. Ton visage tendu. Ta jouissance. Ton sperme qui nous féconde. Qui déborde et se répand sur nos corps. Ton foutre que nous buvons avidement. Ta source ne se tarit plus. Nous nageons dans le sperme, la cyprine, la sueur… Nous hurlons. Nous sommes transfigurées. Nous disparaissons dans le flot de plaisir.
Nues, allongées sur le lit, jambes et bustes emmêlés. Encore étourdies de nos assauts réitérés. Depuis combien de temps ? C’est déjà le soir…
- Eleni… je n’avais jamais connu cela avec une autre femme…
- Tu avais déjà fait l’amour avec des femmes ?
- Oui, j’étais bien plus jeune, et… ce n’était pas aussi… puissant. Beau. Tu es si… ton corps est fait pour l’amour Eleni. Il est si sensuel… si réactif… si doux… Tu es si attentive…
- Je ne peux pas comparer Julia mais… c’est si fort là où tu ...
... m’emmènes…
- Adonis aura bien de la chance…
- …
- Tout à l’heure j’ai cru sentir sa présence, son regard… je suis presque sûre qu’il nous épiait par la fenêtre, derrière le volet…
- Je ne sais pas… j’ai cru sentir une présence moi aussi. Je ne suis pas sûre…
- Et s’il sait ?
- Ce n’est pas grave. Non ? Il ne peut pas être jaloux, il nous a déjà toutes les deux !
- Tu es vraiment surprenante de décontraction ma belle petite femme ! Tellement sûre de toi ! dis-je en l’embrassant à pleine bouche.
- Pas tant que ça… me répond-elle lorsque nous nous séparons. Mais Adonis, je le connais si bien. Je sais qu’il est à moi… Mais je te le prête, ma belle Française. Lui aussi aura appris. Notre union sera inégalable !
- Salope.
- Oui. Mais tu aimes ça les petites salopes grecques ! N’est-ce pas ? Ça tombe bien parce que je ne travaille pas ce soir. C’est mon jour de repos. Je suis toute à toi… tant pis pour Adonis !
Cette petite coquine se rue sur mes seins. Elle les dévore. Je gémis déjà. Elle est insatiable ! Sa main s’enfonce entre mes jambes. Ma faille ruisselante l’accueille à nouveau. Son corps léger glisse contre le mien. Sa tête fouille ma toison, hume, lèche, mordille, et bientôt se place entre mes cuisses. Sa bouche brûlante accueille mon coquin lutin fièrement dressé. Ses lèvres l’aspirent, sa langue le caresse, descend tout du long de ma fente, au plus profond de mes plis, et remonte le lécher avidement sur toute sa longueur. Il exulte. Elle me baise. Ma ...