1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (10)


    Datte: 22/12/2020, Catégories: Erotique, Auteur: bobby29, Source: Xstory

    ... soudainement. Je ne retiens pas un petit cri. Dès lors, tout se précipite. Nos corps fusionnent, se repoussent, se battent, notre étreinte est violente. Je lui ai arraché son short, son slip. Je tiens ses couilles fermement dans ma main, je les serre. Sa bite est dressée, tendue. Je la lèche, la mords, puis m’en vais attaquer une autre partie de son corps. Je sens sa langue, ses dents, ses griffes, sur mes seins, mes épaules, mon cou, mon cul, mes cuisses, ma chatte…. Je bouffe ses pieds, ses tétons, ses fesses, ses couilles, sa queue… Adonis, mon Adonis, baise-moi, prends-moi, défonce-moi !
    
    Adonis est derrière moi, il me pilonne. Sa belle et longue verge me pénètre. Son bassin s’écrase sur mon postérieur qui ne demande que cela : sentir les violents les coups de boutoir qui le font vibrer d’un plaisir inouï. Je crie. Je gémis. Je hurle. Je ne retiens rien. Je veux que toute l’île le sache. Le bel Adonis me baise. Il est là. Il est en moi. Il est à moi. Eleni… Eleni… Eleni… Il est à nous. Vous êtes à moi. Je vous baise. Vous ne baisez que moi. Je connais sa bite. Je connais ta chatte, ta langue. Je connais vos culs sublimes. Le moindre recoin de vos corps parfaits. Je les aime. Je les veux. Je vous apprends tout. Vous me devez tout…
    
    Adonis est reparti. Je suis toujours allongée sur le lit. Fourbue. Couverte de nos liquides. Sentant le sexe. Quelle sauvagerie ! Je n’avais encore jamais subi de tels assauts de mon jeune étalon. Il faudra qu’il redevienne un peu plus sage ...
    ... avec Eleni… au moins au début ! Eleni… Que vais-je faire ? Dois-je en parler à Adonis ? Vais-je la revoir ? Nous ne nous sommes rien dit, mais nos regards étaient suffisamment éloquents… Elle m’a tant fait jouir hier soir. J’aime tellement son corps, son sexe rose aux lèvres brûlantes, ses petits seins tendus, ses minuscules tétons érectiles, son derrière si rond, ferme et sensible… Son odeur intime, son goût, sa peau suave… Le contact de nos épidermes, ces frictions ultrasensibles qui déclenchent d’immenses vagues de désir, de telles envies de fusion, de possession, d’union infinie… Nos orgasmes s’apprennent, s’attendent, se conjuguent, comme jamais celui d’un homme ne pourra le faire. Même Adonis…
    
    Mais lui, quand il me prend, que je sens ses mains sur moi, que je sens son membre qui me remplit, quand je lui appartiens, quand je me donne, quand je le chevauche, que son sexe vibre en moi, que je le serre au plus profond de mon con, quand je sens ses décharges violentes, quand son foutre envahit ma bouche, mon cul, mon ventre… Le goût de son sperme, de son sexe, de sa sueur, de son cul… Ces drogues dures, amères et poivrées, qui déchaînent mon désir… Quand il me regarde, qu’il m’épie, quand je me dévoile secrètement… Quand il se glisse, que je sens son corps puissant entre mes cuisses, que sa tête se perd dans ma faille, que sa langue m’emmène si loin, si haut… Plus loin que la langue agile, tendre et si sensible d’Eleni ? Cette petite langue, ces doigts lestes, qui ont su ...
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