Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (10)
Datte: 22/12/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: bobby29, Source: Xstory
8 AOÛT
Je me réveille, nue dans mon lit. Il est 9 heures. Tant pis. Pas de crique ce matin non plus, il est trop tard. Je suis rentrée si tard hier soir après avoir quitté Eleni. Toute cette marche pour rentrer ici. Après nos ébats, nous sommes restées encore longtemps sur le rocher. Puis nous sommes remontées vers sa maison. Nous avons parlé. Je la connais mieux à présent. Adonis aussi. Ils se connaissent depuis toujours, ont fréquenté la même école, ont le même âge, ont toujours été très proches. Adonis était un peu son meilleur ami, son amoureux, son frère, il la protégeait, se battait pour elle à l’occasion ! Mais tout cela restait très chaste. Jusqu’à ce que leurs corps s’éveillent. Vers 16 ans, petit à petit, leurs sentiments ont changé. Ils ne se le sont jamais vraiment dit, mais c’était naturel, c’était là, depuis toujours. Ils se sont embrassés. Ils ne se quittaient plus. Mais jamais encore ils n’ont franchi le pas… Elle est persuadée qu’Adonis était encore vierge, avant moi… Comme elle. Mais ils s’aiment. Elle sait que c’est indestructible. Et pourtant elle m’a désirée, s’est donnée à moi, m’a baisée… Comme lui. Elle aime mon corps, elle aime que je la désire, la dévore… Comme lui.
Je comprends mieux les hésitations, les rebuffades d’Adonis au début. Comment suis-je parvenue à m’immiscer entre eux deux ? Pourquoi moi, si imparfaite, quand tous deux ont des corps si désirables, jeunes, flamboyants ?
10 heures. J’ai décidé de commencer à relire ma thèse. ...
... Après ces deux jours de grand n’importe quoi, on peut dire que je me suis déjà bien changé les idées ! Je m’installe face à mon ordinateur. Dans le plus simple appareil, comme toujours. Je suis une naturiste convaincue maintenant ! A nous, Marino et Alberto !
15 heures. Je me réveille de ma sieste. J’entends du bruit sur la terrasse. Certainement Adonis ! Je ne bouge pas. Je reste allongée. Soudain, la porte s’entrouvre… J’aperçois la silhouette d’Adonis qui se faufile. Toujours aussi culotté le beau gosse ! Il s’approche du lit.
- Bonjour Adonis…
Je l’ai un peu surpris, il devait me croire endormie ! Il se tient debout, à un mètre de moi.
- Bonjour Julia…
- Pourquoi tu ne t’approches pas ?
Il s’approche, s’assoit sur le lit.
- Tu étais où Julia ?
- Je te l’ai dit. Je voulais aller au port. À la plage. Aller danser. Je suis revenue très tard ces deux dernières nuits. J’étais trop fatiguée pour venir à la crique le matin. Je t’ai manqué ?
- Je suis venu ici, je voulais te voir.
- Je suis là maintenant. Viens. S’il te plaît.
Adonis se penche enfin vers moi. Une main s’est posée sur ma cuisse droite. Elle me caresse doucement. L’autre s’avance sur mon ventre. Remonte vers mes seins. Ses lèvres se posent sur ma bouche.
- Adonis… Je te veux... Je te veux en moi…
La main d’Adonis s’immisce entre mes jambes. Elle se plaque sur mon sexe. Adonis tient ma chatte dans le creux de sa main. Il la prend, la pétrit. Ses doigts, pressés, me pénètrent ...