Charlotte ou massage et plus si
Datte: 28/04/2018,
Catégories:
fh,
copains,
gros(ses),
groscul,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
Oral
nopéné,
Humour
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... Attends… laisse-moi finir, s’il te plait… J’sais pas comment le dire… j’me sens si bien… détendue, et si calme… j’ai tellement l’impression… oh… je ne sais…
— Dis-moi le comme ça vient. C’est tellement plus simple.
— D’accord, j’ai l’impression d’être avec…… la femme de ma vie… je ne peux pas… mieux…
Voilà, c’est là où je voulais en venir !
— Charlinette, je suis Frédéric, c’est bien ma veine un prénom ambivalent, un homme.
— Je le sais que tu es un homme… mais comment tu peux m’avoir fait ça ? Certaines femmes avec qui j’ai fait l’amour n’étaient pas aussi douces que toi ! J’avais l’impression que tu m’aimais et que tu me consolais. Merde, j’arrive pas à exprimer tout ce que je pense… Putain, j’suis conne, c’est pas vrai !…
Moi, je suis de nouveau rendu muet par ce que j’entends et j’ai les yeux qui me piquent.
— Voilà ! c’est ça, t’es le seul homme que je connaisse qui n’ait pas peur de se montrer aussi sensible… Tu ne comprends pas ?… T’étais mon meilleur ami Fred, et maintenant je ne sais plus… je t’aime !
Je sens maintenant les larmes couler sur mes joues, des vraies, pourtant, je ne suis pas triste, heureux et bouleversé, mais pas triste.
— Non ne dis pas ça.
— Si, j’le dis, je t’aime Fred ! Je t’aime… C’est ce que je sens, j’y peux rien…
Elle prend, de nouveau, ma tête dans ses mains et rapproche mes lèvres des siennes. Me fait plein de bisous dessus. Puis, lèche les larmes sur mes joues. Quand elles sont lavées de mes larmes, elle reprend ...
... mes lèvres et sa langue danse une nouvelle fois avec la mienne. Elle fait durer ce baiser. Puis elle éloigne mon visage du sien jusqu’à ce que nos regards se croisent.
— Fred, mon amour, regarde-moi, c’est parce que c’est la première fois qu’un homme me montre autant d’amour que je crois que je peux aimer cet homme… Voilà, c’est exactement ça que je ressens. Parce que tu m’aimes, n’est-ce pas ?
— Je ne sais pas…
— Oh si tu m’aimes, tu m’as donné de l’amour dès que tes mains se sont posées sur mon corps, et même peut-être avant. Tout à l’heure, tu as compris bien avant moi que je mourrais d’envie que tu m’embrasses.
— Non, tu te trompes, j’ai juste cédé à une forte envie de t’embrasser, je ne pouvais pas m’en empêcher…
— Tu en es sûr ?
— Oh oui !… et même encore maintenant…
— Tu entends ce que tu dis ?… mon amour… tu ne me dis pas que tu m’aimes mais, toute ton attitude me le dit mieux que tout les mots que l’on pourrait trouver. Je crois, moi, que tu as peur de me le dire !
— …
— Je le vois dans tes yeux et ça me suffit. Peu importe que tu me le dises ou pas.
— Tu as sans doute raison… je me sens si heureux ! Et puis, regarde-toi chaton, tu es tellement belle.
— Tu me trouves belle… alors toi regarde-moi. Avec toi je n’ai pas honte de mes kilos en trop ni de mes bourrelets. Regarde mon corps.
Je fais comme elle me dit, je reste un long moment mes yeux dans les siens. Ils sont taillés en amande, de couleur noisette avec de petites touches vertes. Elle aussi fixe ...