Charlotte ou massage et plus si
Datte: 28/04/2018,
Catégories:
fh,
copains,
gros(ses),
groscul,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
Oral
nopéné,
Humour
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... mes yeux. Les siens sont à demi fermés. Mon regard se fait plus général, et embrasse son visage en entier : ses joues rondes, son petit nez légèrement retroussé, sa bouche aux lèvres un peu pulpeuses. Dieu, que j’aime ce visage !
J’ai toujours éprouvé une certaine gêne à regarder le corps d’une femme, je sais c’est stupide, surtout si c’est elle qui me le demande, je l’éprouve encore un petit peu mais c’est assez diffus. Mon regard glisse le long de son cou, et je tombe sous le charme de ses seins. Ils sont plutôt petits, mais tout ronds. Bizarrement, je n’ai pas le souvenir de les avoir déjà vus. Y compris quand je la surplombais, juste avant de l’embrasser ! la surface des aréoles est vraiment… impressionnante : on dirait qu’elle couvre la moitié du sein, d’une couleur légèrement plus sombre que celle de sa peau. Elle m’a demandé de la regarder ! c’est la seule chose qui me retient de me jeter dessus ! je ne sais pas, encore aujourd’hui, où j’ai trouvé la force d’y arriver ! j’ai l’impression de ne plus respirer. Pourtant, je ne tombe pas raide mort ; c’est bien que je respire encore !…
Elle a, certes, le ventre rebondi et des bourrelets, et des poignées d’amour, mais, même cela ne me déplait pas, bien au contraire. Je suis toujours agenouillé entre ses jambes et je n’ai qu’à laisser mon regard descendre un peu pour que sa chatte se révèle à mon regard. Et là, je sens qu’à nouveau, mon souffle se rappelle à mon bon souvenir, ...
... et de quelle façon, il est complètement désordonné. Mon cœur loupe, environ, deux battements et, tout compte fait, ça devient plus facile la bouche ouverte… de respirer.
— Fred, mon chéri, dis quelque chose, s’il te plait.
— Quelque chose.
— Oh non, espèce de méchant.
— Charlinette……
Et soudain, je me jette sur elle, tout de suite ma bouche sur la sienne. Elle en est tellement abasourdie que ses lèvres ne s’ouvrent pas, alors, je les lèche, la langue bien à plat, furieusement. Une espèce de gémissement sort de ma bouche, presque un pleur, je ne pourrai le dire autrement. Enfin, elle ouvre la bouche à son tour, elle aussi semble pleurer, mais ce n’est sûrement pas ça. Je décolle ma bouche et la regarde, elle est perdue, c’était le but. Je retourne à ce que je faisais, mais très lentement, cette fois-ci. Je dévore ses yeux des miens, j’y lis une envie au moins aussi forte que la mienne, elle voudrait que je sois encore aussi fougueux, mais elle m’attend, elle sait que je serais doux cette fois. Je ne la déçois pas, je lui fais juste un bisou très léger sur ses lèvres entrouvertes.
— Je t’aime, ma p’tite fleur.
Je n’ai jamais été aussi sincère.
Voilà. La nuit n’est pas encore terminée. Je me rends compte que ça a été plus long que prévu, il vaut mieux que je m’arrête maintenant. J’enverrai la suite… si les critiques m’y autorisent ! J’ai un peu peur, mais il fallait que je vous raconte.
A bientôt, peut-être.
Fred.