1. Charlotte ou massage et plus si


    Datte: 28/04/2018, Catégories: fh, copains, gros(ses), groscul, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, massage, Oral nopéné, Humour Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... train de m’AFFOLER ! et pendant tout ce temps, je n’ai pas cessé de lui caresser le cul.
    
    — Tu aimes que je caresse ton cul ?
    — …
    — N’aies pas peur !… Dis-le-moi.
    — Hum !…
    — Allez, dis-le ! s’il te plait !
    
    Mes mains ne bougent plus. Elles sont juste posées, la main droite sur la fesse droite et la gauche sur la fesse gauche, à plat, les doigts bien écartés. Je sens son cul se soulever, accentuer le contact. Mais, elle ne parle toujours pas.
    
    — Hummm !
    — Ma douce… c’est important que tu le dises…
    
    Je ne dois pas lâcher.
    
    — Je t’en prie, Charlinette, demandes-le moi !
    — J’aim…
    — Allez, un petit effort… je ne recommencerai pas tant que tu ne l’auras pas dis. Je suis cruel. Charli… tu es lesbienne… et je suis un homme ! tu dois me le dire, tu comprends.
    — Oui ! encore cette toute petite voix.
    — …
    — Fred…
    — …
    — C’… c’est la première fois qu’un homme me fait cet effet… j’te jure !
    — Je te crois.
    
    Allez. Dis-le… Vite, avant que je ne craque ! Et toujours l’odeur de sexe qui emplit mes narines, qui se répand dans mon cerveau ! si ça continue, je vais carrément lui brouter, son cul, oui ! plus question de massage. De toute façon, au milieu de cet échange de suppliques, j’ai éjaculé dans mon caleçon ! alors, maintenant, j’ai tout mon temps…
    
    — Fred… J’aime… quand tu car… caresses mon cul… HHH… Je t’en supplie… caresses-le encore… plus fort…
    — Avec plaisir !
    
    J’ai comme l’impression qu’elle va jouir aussi… sans que j’aie recommencé. Et là, je décide ...
    ... que je l’ai assez fait languir. Je fais à nouveau glisser mes mains sur ses fesses, tout doucement. J’en savoure le moindre morceau, je lui offre toute la tendresse dont je suis capable. Toute la surface de son cul goûte à cette caresse. De temps en temps, j’appuie un peu plus et elle, de son côté, cambre ses fesses à l’encontre de mes mains. Son souffle n’est plus qu’un ensemble de soupirs entrecoupé de moments d’apnée, où elle se mord les lèvres, où elle sert la housse de ses doigts, jusqu’à en faire blanchir ses articulations. Moi, je ne peux que reluquer, comme un satyre, son cul. Il est en train de me rendre fou ! comme l’odeur de son excitation grandissante. On a, tous les deux, perdu la boule !
    
    Je sens ses jambes, sous mes fesses, qui s’écartent, bien que je sois assis dessus. Mon regard se pose sur son sexe, que je peux voir, par en-dessous. Il est luisant de mouille et la housse du clic-clac en est trempée ! J’empoigne ses fesses en serrant mes doigts et je les sépare. Son anus, tout petit dans la masse de son fessier, me saute aux yeux !
    
    — Hooo !… Fred… non…… ne regardes pas là… HH…
    
    En même temps, elle lève encore plus son cul, comme pour m’inciter à faire le contraire de ce qu’elle dit.
    
    — T’as vraiment un cul magnifique, Charli ! j’peux pas ne pas regarder, c’est au-dessus de mes forces… j’peux pas ! tu veux vraiment pas que je regarde ?
    — Si… Hoouuu !… mais j’ai honte quand tu regardes mon trou du cul !
    — Pourquoi ? j’t’assure qu’il est vraiment ...
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