Charlotte ou massage et plus si
Datte: 28/04/2018,
Catégories:
fh,
copains,
gros(ses),
groscul,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
Oral
nopéné,
Humour
Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe
... Non, c’est pas ce que je voulais dire… encore pardon… mais… ne te méprends pas !
En fait, j’étais trop sous le choc de ce que je voyais pour me rendre compte qu’elle cherchait à me faire tourner en bourrique et qu’elle y arrivait sans problème… mais j’ai une excuse, votre honneur, je suis complètement bouche bée !
— Arrêtes, Fred ! tu charries, c’est vraiment très gentil, de me dire ça !
— Oh non, va pas croire ça, j’te charrie pas du tout, tu te rends pas compte ?
— Si. T’as l’air sérieux, tout à-coup, mais j’peux pas croire que tu le trouves beau mon cul !
— Ben, j’pourrais pas plaisanter avec ça, ça pourrait te faire mal, et, j’veux pas te faire du mal… jamais, d’accord.
— Pardon, d’accord… c’est moi qui devrais pas plaisanter avec ça .Alors, c’est vrai, tu le trouves beau ? Il est pas trop gros ?
Elle parle d’une voix saccadée et je sens comme une pointe de tristesse dans sa voix. Je me suis peut-être un peu emporté. La tension qui existe, maintenant, n’est plus celle d’il y a 2 minutes. C’est pas plus mal !… mais, je préférais l’autre ! j’ai l’impression qu’elle est sur le point de pleurer. Elle a comme un sanglot, une sorte de secousse, qui partirait de son thorax, mais elle ne pleure pas. Je fais comme pour les massages, j’agis d’instinct.
Je pose très délicatement mes deux mains sur ses fesses. Bien à plat, les pouces écartés des paumes et les autres doigts collés les uns aux autres. Presque sur le pli entre la fesse et la cuisse. Une autre secousse ...
... agite son corps, tout entier, et elle laisse échapper un petit gémissement. Ses fesses se sont crispées au contact de mes mains, mais cela a été très furtif, quelques fractions de seconde plus tard, plus aucune trace de tension. Je n’ai pas mis d’huile d’amande douce, et je fais glisser mes mains sur ses fesses… sans appuyer. Comme une caresse et s’en est une.
— Je t’en prie, Charlinette, ne pleures pas !
— Humm…
— Ça va ?
— Hum… oui… c’est bon…
— Tu veux que je commence le massage ?
— Hhh…
— Charlie ?…
— Non, caresses-moi encore un peu, s’il te plait !
— Tu aimes ?
— Hum…
Alors, je la caresse. Pendant un bon moment. Parfois, elle cambre son cul, de façon à accentuer le contact entre mes doigts et sa peau.
— Fred ?
— Oui ?
— Je peux te demander quelque chose ?
— Tout ce que tu veux, mon cœur.
— Mais euuuh t’es méchant, tu te moques encore de moi !
— J’te jure que non !
— Oui, je sais, tu… tu aimes, ce que tu fais ?
— À ton avis ?… je peux te retourner la question ?
— Humm… oui… j’me sens toute bizarre…
— Comment, toute bizarre ?
— Je sais pas… tu peux appuyer un peu plus fort ?
— Tu veux ?
— Oui, s’il-te-plait… juste pour voir… d’accord ?
— Ok ! mais…
— Quoi ?
— Ça serait meilleur pour toi si tu participais… j’veux dire… je pense.
— Tu crois ?
— Oui, je crois, essaie…
Tout cet échange a été chuchoté par nous deux. Je sais où elle veut en venir, je l’ai senti. Une odeur qui monte de son entrecuisse, qui me chatouille les narines… Qui est en ...