1. Un club un peu spécial


    Datte: 19/12/2020, Catégories: fh, fplusag, hagé, fagée, inconnu, vacances, massage, facial, Oral préservati, pénétratio, double, Auteur: Françoise Vi, Source: Revebebe

    ... raconter. Je lui ai tout avoué d’un bloc, avec moult détails, sans oublier la fois où, encore plus chaude que d’ordinaire, j’avais émis le désir de faire l’amour à trois. Ça s’était passé au jacuzzi, ils m’avaient prise chacun leur tour et quelques fois à deux.
    
    Paul me traita de tous les noms, de salope, de vicieuse, de vieille cochonne, de sale pute, il me retéléphona même plusieurs fois pour m’insulter. Il me demanda si je n’avais pas honte, à mon âge, d’avoir le feu au cul. Sa déception était tellement grande qu’il insista ainsi pendant plusieurs jours. Me faire baiser par des arabes ! je n’avais pas honte ? Vraiment, je le dégoûtais. Il était raciste, en plus !
    
    J’ai préféré couper mon portable pour ne plus entendre parler de lui et je me consolai, plus que nécessaire, entre les mains de mes beaux masseurs. Lorsque je rouvris ma messagerie, mon répondeur était inondé. J’effaçai un à un tous les messages sans même les écouter. Il avait dû finalement se décourager et m’effacer de son répertoire car, par la suite, il ne rappela plus.
    
    Nous étions dans le club depuis plus d’un mois quand je fis la connaissance de René, un homme un peu plus jeune que moi, mais retraité lui aussi. Il m’avait abordée à la discothèque et m’avait gentiment draguée. Il m’avait dit qu’il était veuf et qu’il vivait en Belgique. Ce n’était pas le plus beau des hommes parce qu’il était plutôt lourdaud et qu’il avait une grosse bedaine. Mais il avait vraiment de belles bacchantes et il se ...
    ... montra fort sympathique. Nous bûmes quelques verres au bar puis vint le moment de nous séparer. C’est alors qu’il me proposa de l’accompagner jusqu’à sa case, histoire, dit-il, de boire un dernier verre.
    
    À peine la porte franchie, il se montra vraiment très empressé. Il se jeta sur moi pour m’embrasser partout. Je n’avais pas le cœur de l’en empêcher, mais son apparente brutalité me changeait vraiment de la douceur de mes jeunes amants tunisiens. Il me poussa sur son lit et me troussa de suite. Il me fit l’amour comme ça, dans l’urgence, sans même me déshabiller. Il ne se montra pas particulièrement brillant et s’épancha très vite en moi.
    
    Devant mon désarroi face à ce rapport non protégé, il m’assura qu’il était parfaitement sain, que cela fait des années qu’il n’avait pas fait l’amour à une femme et qu’il me trouvait vraiment très à son goût, ce qui n’est pas une raison pour ne pas attraper de maladie.
    
    Mufle jusqu’au bout des ongles, il me demanda si j’avais bien joui. Je lui dis honnêtement que « non », qu’il s’était montré beaucoup trop rapide. Il me demanda si je voulais bien le sucer pour le faire rebander, parce qu’il avait bien l’intention de me faire jouir. Il me présenta sa queue gluante. Mais, malgré tous mes efforts, je ne pus la remettre en état.
    
    — Je suis vraiment désolé, gémit-il en regardant dans la glace son membre tout mou pendre tristement sous son ventre.
    
    Pas tant que je l’étais, moi, désolée, à vrai dire, surtout que cela faisait presque une ...
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