1. Duchesse et catin (2)


    Datte: 18/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... m’empaler lentement sur le membre.
    
    — Bougez, dansez, montez et descendez, remuez-vous dans tous les sens. C’est vous qui avez la maîtrise de la situation Madame.
    
    — Je vais faire de mon mieux.
    
    C’était une précaution oratoire, car pour une débutante, il était difficile de se trémousser sur le sexe d’un homme en maintenant celui d’un autre entre ses seins, car Hornyman était monté sur le matelas et me présentait sa bite... Il cracha à plusieurs reprises entre mes nichons pour mieux faire coulisser son membre et cela ne me dégoûta même pas, tellement j’étais submergée par l’invasion du stupre. Et je mis donc plus d’ardeur, car le plaisir montait, enflait, se développait et débordait et, cette fois, je jouis bruyamment.
    
    Mon mari y trouva son compte :
    
    — Elle progresse Hornyman, elle progresse. Elle est douée pour la chose, n’est-ce pas?
    
    — Oui, Monsieur, pour peu qu’elle soit bien préparée, elle y prend goût.
    
    Je trouvai curieux qu’ils parlent de moi ainsi en ma présence, comme si j’avais été simple spectatrice, sans me demander ce que j’en pense. Mais il n’était pas convenable qu’ils m’en parlent et me sollicitent mon avis. Oui, j’aimais cela. Jamais je n’avais connu quelque chose de si fort. Bien sûr, je préférais la vaillance du jeune homme, mais le sexe raidi de mon époux n’était pas non plus désagréable et, bien qu’il ne manifestât pas la même vigueur ni la même endurance, je commençai à croire que je pouvais tirer parti, somme toute agréable de ce charmant ...
    ... vieillard et de son entrejambe.
    
    Là-dessus, ses doigts décharnés se crispèrent sur mes hanches, il se tendit de tout son corps et expulsa son sperme en râlant de plaisir.
    
    Quand Hornyman eut constaté que mon mari avait joui, il se dépêcha de finir et il se masturba pour juter encore entre mes seins.
    
    — C’est bien... C’est bien... Regagnez votre couche Madame et reposez-vous, le jour viendra bientôt... Revenez demain soir... et vous aussi Hornyman.
    
    Bien Monsieur.
    
    — Pouvez-vous amener votre sœur ? Elle conseillera Madame.
    
    — Hélas, Votre Grâce, elle est chez des parents pour quelques jours.
    
    — Bien, bien, nous ne perdons rien à attendre... Mais je souhaite que très vite, la duchesse puisse se débrouiller seule.
    
    — Vous n’aurez pas à attendre longtemps, Milord... Madame est douée.
    
    — Bien, bien... Disposez maintenant, je suis las.
    
    — Bonsoir Milord... Milady.
    
    Et il sortit.
    
    Mon mari m’embrassa affectueusement.
    
    — Allez, Madame, allez. Reposez-vous maintenant.
    
    Je regagnai donc ma chambre. Il y faisait plus frais. Je remis moi-même quelques bûches et m’endormis.
    
    La journée fut consacrée à quelques activités mondaines avec les derniers invités qui nous quittèrent l’un après l’autre. On me félicita pour ma gaieté, surtout mes parents qui en furent surpris, et chacun y vit sans doute que le duc avait fait son devoir avec bonheur. Je surpris même à ce sujet quelques propos de couloirs dans la domesticité tenus bas entre rires et gloussements.
    
    — Je ...