1. Duchesse et catin (2)


    Datte: 18/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... ruelle.
    
    Je fis ce qu’il demandait.
    
    — Suce, d’abord, bouffe-là à fond jusqu’à la garde... Avale le zob jusqu’à en vomir et écrase-le entre tes deux gros nibards... OUAIS... comme ça... pas si vite... Laisse traîner ta langue sur le gland... Appuie bien... Rebouffe... Bouge ta tête pour tourner autour de la bite... Comme ça...
    
    — Il faudrait peut-être demander le concours de votre sœur, Hornyman. Elle est experte tailleuse de pipe.
    
    — Oh... Monsieur, vous m’avez fait peur... Je vous ai réveillé... dis-je avec le même sentiment de culpabilité que si l’on m’avait prise, quand j’étais petite, la main dans le pot de confiture.
    
    — Le jeu en vaut la chandelle... Sacredieu... On s’amuse bien ici... Mais ne vous arrêtez pas, Madame, sucez, sucez vigoureusement... Seulement, changez de queue. Prenez-la mienne. Hornyman, puisque la duchesse est à genoux, enfilez-la donc, par-derrière, et allez-y sans retenue. Je sens que je vais encore bander. J’ai hâte de la féconder.
    
    Je me mis donc à sucer la verge molle de mon époux, pendant que mon amant, il fallait bien l’appeler ainsi, me sautait vigoureusement. Mais là encore, malgré une application sincère, je ne produisis pas les effets escomptés par le vieil homme.
    
    — Mettez-la debout, Hornyman, penchée sur mon sexe; et continuez de la prendre par-derrière, jambes écartées. Montez-la comme un étalon saillit une jument... et essayez de lui pincer les seins.
    
    — Bien Monsieur.
    
    Le garde-chasse me saisit par les hanches et ...
    ... me releva. Il fit pression sur mes cuisses pour que j’écarte les jambes comme il le souhaitait. Penchée sur mon mari, je continuai d’essayer de le faire bander.
    
    — Aidez-vous de votre main ! supplia ce dernier.
    
    Alors, pendant que je pompai le dard flasque en essayant de le masturber en même temps, la main sur la hampe, la langue sur le gland, Hornyman me lécha la chatte et le trou du cul, puis il se leva et me prit sauvagement.
    
    Comme il était plus grand que moi, il dut fléchir les genoux pour me pénétrer à son aise. De temps en temps, pourtant, il se redressait droit sur ses jambes les tendant à mort, se mettant même sur la pointe des pieds, ce qui me projetait violemment en avant et m’arrachait un cri quand la bite tapait tout au fond, me forçant à abandonner la queue de mon mari un instant.
    
    Celle-ci gonfla enfin, stimulée sans doute davantage par la performance de mon baiseur que par mes actions bucco-linguales. Mais enfin cela m’aida, plus elle était grosse, plus il m’était facile de la branler et de la sucer en même temps sans que les deux gestes se gênent trop, c’est-à-dire en laissant plus d’amplitude au mouvement de branlette.
    
    — Ah, c’est bon, c’est bon... oui. Faites demi-tour. Empalez-vous sur mon vit et faites ce que vous voulez de votre amant.
    
    Je me relevai, fis demi-tour, et avec l’aide d’Hornyman, présentai mon dos à l’homme qui attendait allongé intégralement sur le lit. Il maintint sa bite en l’air par une forte pression de la main et je vins ...
«1234...»