1. Duchesse et catin (2)


    Datte: 18/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    J’ignore quelle heure il pouvait être quand je me réveillai. Il faisait encore nuit. J’étais couchée sur le côté et le bras solide et poilu de l’homme retombait sur moi par-dessus le mien, son torse touchant mon dos. Il respirait lentement alors que mon mari ronflait paisiblement.
    
    J’avais envie de cet homme que je sentais contre moi, mais je n’osai le réveiller. J’avais envie. J’avais aimé ce que nous avions fait la veille au soir. Etait-ce bien ? Etait-ce mal ? C’était en tout cas agréable... plus qu’agréable. C’était bon, si bon. Comment avais-je pu vivre sans connaître cela ? Et je voulais recommencer.
    
    Je me demandai si je pouvais saisir son sexe, m’en approcher. J’en étais si proche puisque nous étions quasiment collés l’un à l’autre. Je bougeai donc pour aborder son corps et coller mes fesses contre son sexe. Je n’eus pas à me mouvoir beaucoup. D’un petit coup de hanche, je me trouvai contre lui et sentis l’objet de mon désir, l’énorme protubérance de chair chaude. Il était gros et dur... très gros et très dur... Les hommes étaient-ils toujours comme cela pendant leur sommeil ?
    
    Je profitai de l’occasion pour m’y frotter un peu.
    
    — Tu en as envie ?
    
    — Oh... Je vous ai réveillé ?
    
    — Non... On a mieux à faire que de dormir quand on est au pieu avec une déesse. Y a un bon moment que je suis là à te frôler... Tu me fais bander dur.
    
    Je ne sus quoi répondre.
    
    — Tu la veux ma queue ?
    
    — Faut-il... faut-il toujours que ce soit si... si cru... si direct.
    
    — ...
    ... Apprenez à connaître les hommes ; ils font la cour avec de grandes manières, mais au lit... Soulève ta jambe droite, je vais te la foutre.
    
    Je fis ce qu’il demandait et il guida sa verge dans mon vagin encore hypersensible.
    
    Il me pénétra avec lenteur en poussant son vit jusqu’au bout.
    
    — Tu la sens, là ? Tu la sens ?
    
    — Oui ! soufflai-je, dans un murmure de plaisir.
    
    — Tu aimes ma grosse bite ?
    
    — Oui... dis-je encore plus bas.
    
    — Prends-la ma queue, prends là! J’vais t’l’enfoncer jusqu’aux couilles.
    
    Très vite, l’euphorie me submergea. A chaque coup de queue, je poussais un petit cri et je faisais des efforts pour me contrôler et ne pas en émettre de plus puissants.
    
    — Moins fort... nous allons réveiller mon mari.
    
    — Tant mieux ! Plus il te fécondera, plus il sera content...
    
    Je suis là pour l’aider à t’engrosser, mais pas l’engrosser à ta place... et cela me va très bien. Pas toi ?
    
    — C’est... j’ai... j’ai un peu honte.
    
    — Laisse cela. Laisse libre cours à ton plaisir.
    
    — Oh oui, dis-je oui !
    
    Et pour joindre l’acte à la parole, je me dégageai et m’allongeai. J’ouvris grand les jambes.
    
    — Viens !
    
    Il s’approcha, me glissa deux doigts dans la chatte et se mit à me manger les seins.
    
    Il bougeait ses doigts avec célérité les faisant entrer et sortir, les tournant et retournant dans l’orifice, tout en me dévorant les tétons comme un affamé. Je lui caressai les cheveux frénétiquement;
    
    — Prends ma bite entre tes nichons ! A genoux, dans la ...
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