1. Remplacer n'est pas tromper


    Datte: 18/12/2020, Catégories: fh, hplusag, inconnu, caférestau, vengeance, pénétratio, occasion, internet, Auteur: Utabitch, Source: Revebebe

    ... arlettyenne », à l’ancienne : « Avant le mariage ? » qui le fit sourire… Enlacés, ils entrèrent dans la 318. Se voyant démasqué, malgré son mensonge, Toni rougit, mais se promit de lui faire payer l’affront qu’elle lui faisait… Le sort en était jeté ! Elle ne savait pas qui il était… Oui, elle allait payer, et pas seulement avec sa chatte… il allait mettre sa bouche et son cul à contribution, et sérieusement, non mais !
    
    — Déshabille-toi, lui ordonna-t-il, brutal, tentant de dominer la situation.
    
    En lui tournant le dos, Madeleine commença, lentement, son effeuillage, consciente de la beauté de son côté « pile ». Quand elle se retourna et lui offrit le spectacle de son côté « face », une main sur ses seins, l’autre sur son pubis, elle constata sur le visage de son « client » les effets de l’excitation qui montait, montait, montait…
    
    Toni se dévêtit et s’allongea sur le lit. Il oubliait que son sexe dressé reconnaissait sa défaite devant cette femme et, en un dernier baroud machiste, il lui ordonna : « Suce-moi ! » Au lieu de ça, Madeleine marcha lentement vers le lit, admira posément la solidité réconfortante de son corps, se coucha à son côté, pressa ses doux seins contre sa poitrine velue, l’enserra de ses bras, timidement, presque pudiquement (sauf qu’ils étaient nus tous les deux…), posa sa tête sur son épaule et embrassa doucement son cou, lui murmurant des « je-ne-sais-quoi » à l’oreille…
    
    Toni était en enfer ! Alors qu’il aurait voulu baiser, défoncer, jouir, ...
    ... égoïstement, de cette femme, il frissonnait aux caresses de Madeleine, qui le dominait par sa tendresse et sa sensualité ! Paradoxalement, plus il bandait, plus il sentait sa force s’évanouir. Il savoura l’instant, puis il abandonna toute résistance. Il se redressa et se pencha vers elle, souriant timidement. Il posa ses lèvres sur celles de la femme, puis lui écarta la main pour pouvoir admirer ses seins, les caresser de sa main curieusement intimidée, les frôler, les toucher délicatement, puis les peloter, les embrasser, les suçoter, les téter… Madeleine écarta son autre main, afin de lui ouvrir l’accès à son clitoris et à son sexe. Toni comprit l’invitation et posa sa main sur le pubis de la femme qui s’offrait à lui. Ses doigts se prenaient dans la toison féminine, jouaient avec elle, n’osaient pas aller plus avant, ni appuyer sur le clitoris, ni pénétrer dans le ventre que les jambes maintenant entrouvertes livraient à ses caresses.
    
    Madeleine posa sa main sur celle de Toni, et le força à la caresser, dans un premier soupir de plaisir. Encouragé, Toni effectua un lent et délicat va-et-vient digital sur le sexe de Madeleine, qui le remercia par de petits miaulements de chatte amoureuse. Maladroitement, elle prit sa queue entre ses doigts, le tapota pour en savourer la dureté, s’en sentit honorée, flattée et, pour le remercier de cet hommage, se pencha et déposa un baiser hésitant sur le gland prêt à éclater.
    
    Toni était perdu ! Cette « faible femme » prenait possession ...