1. De l'éjaculation


    Datte: 18/12/2020, Catégories: fh, jeunes, inconnu, intermast, Oral pénétratio, uro, Humour Auteur: Giusepe, Source: Revebebe

    ... Oui… soupira-t-elle.
    
    Dans un doute délicieux, je n’aurai su dire si ce « oui » exalté était un début de réponse à ma question, ou un soupir d’encouragement à mes caresses.
    
    — Oui quoi ?
    — Oui… il faut définir les règles ; c’est très simple : vous éjaculerez quand je l’aurai décidé, et vous aurez perdu.
    — Vraiment ?
    
    En disant cela, j’écartai le côté de sa culotte pour enfin la toucher à même la peau. Merveille des merveilles ! Un coulis de miel tiède sous ma langue, une petite boule lisse sous mon pouce, un duvet frisottant sur ma joue…
    
    — Oui, vous aurez perdu, perdu, perdu… continua-t-elle avec difficulté, alors que j’écartais les pans de ses lèvres intimes pour observer son clitoris à loisir.
    — Vraiment ?
    — Oh ! soupira-t-elle brusquement en se cambrant, lorsque l’extrémité de ma langue titilla l’extrémité de son petit bourgeon.
    — Et si vous jouissez avant moi, Géraldine, qui aura gagné ?
    
    J’aimais lui parler tout en la caressant. Elle posa une main sur mes cheveux.
    
    — Ça suffit, Grégoire, viens maintenant… dit-elle en gémissant.
    
    M’avait-elle déjà tutoyé, ou était-ce la première fois ? Je ne savais plus. Mes lèvres quittèrent son puits de douceur, et je me décidai enfin à lui retirer sa culotte, sentant que le dernier acte n’allait pas tarder à arriver. En s’étirant vers l’arrière, toujours allongée, elle parvint à ouvrir le tiroir de sa table de chevet ; elle farfouilla quelques instants et ressortit un petit paquet. Elle sortit elle-même le ...
    ... préservatif de son sachet, et me l’envoya. Je l’enfilai prestement. Je saisis ensuite gentiment Géraldine sous les cuisses pour la soulever un peu, et je la pénétrai lentement, en savourant la progression de mon pénis dans cet antre tiède et moelleux.
    
    — Grégoire… Pas de triche, hein ?
    — Comment ça ?
    
    Je ponctuai ma question d’un petit aller-retour voluptueux qui lui déroba un nouveau soupir.
    
    — Pas de pouce sur le gland, hein ?
    
    Elle avait encore la présence d’esprit de plaisanter ; quant à moi, j’essayai de me concentrer sur la tâche à accomplir. Pas question de me laisser aller, il fallait absolument me contrôler, d’autant plus que Géraldine commençait à entrer en action, ondulant langoureusement du bassin, et répondant à mes mouvements par des plaintes aux accents extatiques. Nos sexes s’emboîtaient parfaitement, je disparaissais entièrement en elle, et les poils de nos pubis crissaient en se mélangeant. Elle mouillait abondamment, gémissait toujours plus fort, fermait parfois les yeux, ou alors redressait la tête pour regarder l’union de nos sexes. Son vagin se contractait et se relâchait autour de mon pénis. Elle leva un bras et je la vis poser elle-même un doigt sur son clitoris pour se caresser, ce qui, je ne sais pourquoi, m’excita encore davantage. Je commençais à me sentir partir et j’aurais voulu de ralentir un peu, mais Géraldine ne l’entendait pas de cette oreille. Ses mouvements du bassin s’intensifiaient, ainsi que ses cris. De son autre main, elle parvint à ...