1. De l'éjaculation


    Datte: 18/12/2020, Catégories: fh, jeunes, inconnu, intermast, Oral pénétratio, uro, Humour Auteur: Giusepe, Source: Revebebe

    ... nous. Je commençai à tirer fébrilement, pour ne pas dire n’importe comment, sur son chemisier, pour le lui ôter, pendant qu’elle descendait la fermeture de mon pantalon, et qu’elle appuyait sur mes hanches pour le faire glisser. Devant ma précipitation maladroite, elle entreprit également de baisser le sien.
    
    — Garde ta culotte, lui dis-je, lui avouant par-là même l’un de mes péchés mignons.
    
    En quelques instants, nous fûmes nus l’un et l’autre, moi intégralement, et elle ne gardant plus que la petite culotte noire que j’avais aperçue auparavant. Toujours debout, nous nous enlaçâmes de nouveau, et nos mains plongèrent de nouveau sur nos sexes, alors que nos langues reprenaient leur ballet. Je commençais à la sentir s’ouvrir sous mes doigts, ce qui constituait pour moi la réalisation d’un vieux rêve.
    
    La toute première fois que j’avais pu glisser ma main sur la culotte d’une jeune femme, j’avais été émerveillé de la trouver humide sous mes doigts ; cette découverte du désir féminin, alors que je pensais commettre un outrage, avait véritablement changé ma vie. Dès lors, je n’avais cessé de rêver à cet instant magique. « Rien n’est plus rassurant que le désir mouillé salé d’une femme », ai-je pu lire récemment, quoi de plus vrai ?
    
    Voilà sans doute pourquoi je ne pouvais me lasser de caresser le sexe de Géraldine par-dessus sa culotte ; sentir le tissu s’humidifier et s’immiscer dans sa fente, deviner le renflement du clitoris et le gonflement de ses lèvres, tout cela ...
    ... me faisait littéralement flotter. Pendant ce temps, elle avait saisi ma verge, et me masturbait avec délicatesse.
    
    — C’est par où, ta chambre ? finis-je par lui demander.
    
    Sans me répondre, et sans suspendre ses caresses, elle m’entraîna en reculant et titubant vers une porte qu’elle ouvrit d’une main passée vivement dans son dos. Je découvris d’un regard une petite chambre, minuscule à vrai dire, un peu en désordre, dans laquelle il n’y avait guère de place que pour son lit - une personne - une table de chevet, et une commode. À force de reculer, Géraldine buta sur son lit et se retrouva assise. Sans perdre un instant, elle prit mon pénis et mes bourses entre ses mains, regarda mon attirail d’un air convaincu, et commença à me prodiguer quelques petits baisers furtifs. Puis, elle fit courir sa langue le long de mon pénis, et le prit dans sa bouche. J’étais cloué au sol et commençais à haleter d’une façon inquiétante.
    
    — Grégoire, dit-elle en s’interrompant, prenez garde, je vous rappelle pourquoi nous sommes ici.
    
    Elle continuait à me vouvoyer, par jeu sans doute. Je me dérobai et m’agenouillai entre ses jambes. Elle bascula en arrière, sur son lit, les pieds reposants à demi sur le sol. J’avançai ma tête vers les senteurs poivrées de son sexe.
    
    — Je n’ai pas oublié, répondis-je. On pourrait même préciser un peu les règles du jeu, qu’en pensez-vous ?
    
    En disant cela, je frottai mon nez contre le tissu de sa culotte, et commençai à la taquiner avec ma langue.
    
    — ...
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