-
L Ange gardien
Datte: 16/12/2020, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... ce vœu à un dieu invisible. Mon nigaud ne parut pas décontenancé par ma proposition. Il était réellement fasciné par mon pied d'autant que j'avais imprimé à celui-ci un petit battement trop sensuel. Le dangling était un de mes péchés mignons. Je ne pouvais plus que pousser cet avantage. Aussi jetais-je mon dévolu sur une autre paire d'escarpins et me tournant à nouveau vers lui, j'ajoutais : « Pour m'agréer offrez-moi l'une et l’autre paire. » Il était enseveli dans son mutisme. Je pris cela comme assentiment et témoignage de son admiration. Pour achever je croisais, décroisais mes cuisses me caressant le pied. Toujours transi devant moi, il me laissa me lever et lui tendre les deux boîtes d'escarpins. Il les prit dans sa grosse main. Je lui dis : « Je préfère vous laisser aller à la caisse seul. La caissière n'a pas à savoir. Je vous attendrais dehors. » Sur le parking je fumais fébrilement. Je trouvais à présent navrant mon comportement. Quelle idée d'avoir suborner ce type. Allait-il me demander quelque chose en retour ? J'avais idée de l'envoyer balader mais en avais-je le droit ? Je le vis arriver la mine basse me tendant avec gêne les sacs qui contenaient mon cadeau. Je souris cherchant mes mots. Nous convînmes d'aller boire un verre à un bar qui jouxtait le magasin. Il accepta la terrasse au soleil où je pus fumer. Je crus devoir croiser mes cuisses afin qu'il put les admirer sans vergogne. A tout le moins lui devais-je cela. Je n'avais cure de paraître une ...
... garce. Du moins le jeune garçon qui nous servit dut penser cela. Il m'adressa un sourire entendu. Pour lui je tapinais et avais levé un gros pigeon. J'eus volontiers giflé ce petit freluquet. Quoiqu'il en soit je tins à soigner Frédéric car ainsi se prénommait, mon nigaud. Il était inspecteur des impôts. Il avait contrôlé une société ce matin. Je lui dis que j'étais au chômage et que du moins cette année, je ne paierais pas d'impôts. Nous éclatâmes de rire. Je lui dis tout de go que je ne comprenais pas qu'il ait pris au sérieux ma blague de tout à l'heure de m'offrir des chaussures. Il me répondit penaud que cela lui faisait plaisir. Que de cette façon il soutenait une chômeuse en difficulté. Je lui dis cependant qu'il ne devait pas se méprendre. Ce n'était pas mon genre. Je ne pensais pas que ma provocation allait tirer à conséquence. Je ne suis pas à un point de désespoir pour verser dans la plus sale et inepte vénalité. Le martini avait commencé à me chauffer. Tandis que je protestais de mon innocence je continuais à faire la garce. Notamment je décroisais de plus en plus mes cuisses. Il pouvait sans vergogne examiner ma culotte. Voir que celle-ci était exiguë et transparente laissant savourer les reliefs de ma chatte. Il ne pouvait pas ne pas comprendre que j'étais du genre mauvaise femme. Il devait comme le jeune serveur me ranger dans la catégorie des femmes faciles et désœuvrées qu'on attrapait et culbutait, le jour durant. Je décidais du coup de franchir le ...