Métro londonien et douche écossaise (2)
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
Gay
Auteur: Mir, Source: Xstory
... mouvements, mais je ne sens plus rien, juste mon cœur qui bat un rythme infernal et m’empêche de penser, sa queue en moi, la mienne dans sa main, sa queue putain sa queue tellement raide épaisse énorme qui me dilate m’encule me bourre me transperce de plaisir alors que j’enserre sa taille de mes jambes pour le coller à moi en moi au fond en gémissant en quémandant suppliant criant jouissant.
Anéanti de plaisir, je bascule en arrière, à demi allongé sur le bloc de béton, le ventre couvert par mon sperme (qui vient s’ajouter au précédent, déjà séché).
Il n’a pas encore joui. Il soulève mes fesses pour, dans cette position, mieux me défoncer. Je le sens s’activer sur et dans mon corps sans réaction : amorphe, je ne bouge plus, subissant simplement la fin de la sodomie. La puissance de ses pénétrations fait balloter mes jambes, ma tête oscille d’un côté et de l’autre lorsqu’il accélère, me secouant entièrement sous ses coups de bite. Presque inconscient, je le sens à peine me brutaliser le cul.
Il finit par éjaculer, s’affalant sur mon torse inerte et se souillant de mon sperme qui le recouvre, plantant sa queue au plus profond. Je sens vaguement les différentes giclées, sans réagir. Il essaie de reprendre son souffle et finit, après quelques minutes, par se retirer, en ...
... partie débandé. Je n’ai même plus la force de contracter mon anus pour empêcher le foutre de couler.
Devant mon absence de réaction, il finit par s’inquiéter et tapote mes joues. Je reprends pied dans le réel, me secoue et tâche de me rendre présentable pour le retour. Heureusement c’est l’été : j’ai une bouteille d’eau avec moi, elle me permet de me nettoyer un peu, même si l’odeur de sexe semble m’imprégner définitivement. Mon enculeur se nettoie lui aussi, en silence. Je me rhabille, bien obligé même si mes vêtements ne sont plus vraiment présentables.
Nous quittons tous les deux le terrain vague. Il sort son téléphone, me le montre en disant « taxi ». J’acquiesce : pas question de remettre un pied dans la station de métro, où tout le monde doit avoir notre signalement.
Le taxi arrive, nous montons tous les deux. Le trajet est long mais silencieux, je n’ai ni l’envie ni la force de discuter. Lorsque je descends, il me glisse un papier qu’il a griffonné au cours du trajet. Un numéro de téléphone. Je le quitte en souriant.
Une fois dans ma chambre, je me jette sur le lit. Mes amis m’avaient conseillé de m’intéresser à l’underground londonien. J’approuve pleinement le conseil même si je doute qu’ils aient songé à mon mode personnel d’exploration, très physique et approfondi…