1. Métro londonien et douche écossaise (2)


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Gay Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... plaisir s’ajoute juste la frustration.
    
    Cockfosters, lieu favorable aux bites.
    
    Tout le monde descend.
    
    Sauf nous. Je m’apprête à me retourner, mais il me plaque contre la paroi en murmurant « We have a few minutes ! »
    
    Je comprends alors son calcul, lorsque nous étions montés : à chaque terminus, un employé nettoie la rame en partant de l’avant, ce qui lui prend un certain temps, étant donné que beaucoup de londoniens abandonnent sur les sièges les journaux gratuits disponibles dans le métro. Sans parler de déchets moins ragoûtants.
    
    Nous sommes dans le dernier wagon. Nous avons bien cinq minutes devant nous.
    
    Mon inconnu réagit comme si nous n’en avions qu’une.
    
    Il baisse brutalement mon bermuda et mon boxer (j’entends craquer l’élastique), arrache sans précaution le plug dans un bruit de succion et me pénètre d’un coup sec, me tirant un cri que je n’ai pas le temps d’étouffer. Je panique : n’importe qui pourrait venir, quelqu’un qui aurait oublié un objet dans le wagon, un retardataire attiré par mon cri ou intrigué par le bruit produit par sa queue dans mon cul… J’ai l’impression qu’on n’entend que ça à des centaines de mètres à la ronde, le son mouillé de son gland forçant mon anus, le bruit de succion lorsque sa queue ressort, mes halètements dans les deux cas.
    
    Je proteste : « Stop, please, someone could see us, please stop, not here, please ! »J’essaie d’ajouter que je veux bien ailleurs, dans un endroit discret, mais il ne m’écoute pas.
    
    Il me ...
    ... sodomise brutalement, rapidement, me pénétrant complètement à chaque insertion dans un puissant halètement, avant de se retirer presque entièrement pour à nouveau me bourrer violemment. Il a attrapé ma taille d’une main pour amplifier le mouvement, de l’autre il plaque mes épaules contre la paroi. Je ne peux plus bouger, impuissant je deviens un pur jouet entre ses mains et subis cette sodomie en gémissant.
    
    Je finis par saisir ma queue et me masturber, alors qu’il accélère, ce que je n’aurais pas cru possible. L’ampleur de ses gestes finit par me faire basculer, même s’il essaie toujours de me plaquer contre le wagon : nous perdons tous les deux l’équilibre. Je finis à genoux, sa queue toujours plantée en moi : il a suivi le mouvement. Il poursuit l’enculage au même rythme, me faisant tomber en avant.
    
    Allongé sur moi, il continue à forcer sauvagement mon anus. Je ne sais plus où je suis, j’oublie la peur de nous faire surprendre et gémis de plus en plus. Il me bâillonne d’une main, étouffant mes bruits de plaisir, désormais moins audibles que ceux de la pénétration. Les claquements de son ventre sur mes fesses résonnent dans le wagon.
    
    Je place une main sur mes fesses, pour mieux sentir sa bite entrer et sortir. A chaque retrait, je sens sous mes doigts l’anneau de mon anus suivre un peu sa queue visqueuse, l’englobant, comme pour la retenir en moi. A chaque pénétration, au contraire, il s’incurve, suivant le pénis à l’intérieur d’un bon centimètre. Se méprenant sur mon ...
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