Métro londonien et douche écossaise (2)
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
Gay
Auteur: Mir, Source: Xstory
... métro, dans le métro, dans la rame, la petite peur des caresses discrètes alors que les autres nous entourent, la nécessité de ne rien laisser transparaitre, la délicieuse frustration qui monte lentement.
D’un signe de la tête, je lui indique la rame qui arrive dans un bruit tonitruant. Il hausse les épaules et se dirige vers le bout du quai. Je ne comprends pas bien pourquoi : la rame sera bondée là-bas comme ailleurs ; toutefois je le suis.
Une fois que nous sommes montés, il ne perd pas de temps. Il s’arrange pour que je sois plaqué au fond du wagon, compressé par la foule (et surtout son corps), puis commence à pétrir mes fesses. J’essaie maladroitement de passer ma main derrière moi pour le toucher. Il ouvre sa braguette, m’autorisant, après une petite gymnastique des doigts impliquant un boxer à l’élastique serré, à caresser son gland. Il bande déjà ; l’humidité qui poisse ma main révèle qu’un peu de liquide pré-séminal perle déjà : je l’excite…
Les cahots de la ligne ne me facilitent pas la tâche, d’autant que je n’ai aucune visibilité, étant face à la paroi : j’ai peur qu’un geste trop prononcé ne révèle aux autres ce que nous faisons.
Alors que les stations sont ponctuées par les annonces du haut-parleur (Holborn, Russell Square, King’s Cross), les « mind the gap between the train and the platform » (« mind the cock between your ass and the fucker » serait plus approprié pour moi) et le flux de la foule (j’adore quand le nombre d’occupants me colle ...
... davantage à mon inconnu, notamment à partir de King’s Cros, station très fréquentée), il commence à s’occuper de moi.
Je le sens tirer doucement l’élastique de mon bermuda et glisser sa main dans mon boxer, entre mes fesses. Son léger hoquet révèle sa surprise, je ne peux m’empêcher de sourire de plaisir : ah, ça, il ne s’y attendait pas, l’imperturbable Anglais… Avant de sortir du musée, m’estimant pleinement remis de mon aventure précédente, je m’étais inséré un plug de dimension… disons, honorable, pour mieux profiter d’éventuels attouchements dans le métro. C’est un petit plaisir que je m’offre parfois : sortir ainsi, pénétré, déambuler devant tous, craignant un peu que le bouchon du plug soit visible à travers le tissu du jeans ou du bermuda, prenant en même temps plaisir à cette peur.
Mon inconnu ne se laisse pas désarçonner et saisit l’extrémité du plug. Il lui imprime un mouvement rotatoire qui me ravit. Ma main se crispe sur son pénis, j’accélère la masturbation. Je sens son érection durcir. J’aimerais m’enlever le plug et m’enfiler sur sa magnifique queue, dressée dans mon dos, mais le monde autour de nous m’en empêche, bien sûr… Je me contrôle de plus en plus difficilement, compliqué de ne pas haleter de plaisir.
Les noms de stations s’égrènent, nous approchons du terminus. Je voudrais le faire jouir, mais il tacherait mon bermuda, je ne peux pas me le permettre. Je ralentis mes gestes sur lui, il fait de même de son côté. Cela ne me calme pas vraiment, au ...