1. Voyeur ou héros ?


    Datte: 15/12/2020, Catégories: h, ffh, fplusag, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour québec, voisins, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... l’écrase, cette étrange fumée brunâtre en jaillit ! Des spores, sans doute.
    
    Je cessai de respirer aussitôt en me rappelant (avec mon esprit tordu)Howard Carter et la malédiction de Toutânkhamon. En réalité, c’était des champignons dus à la décomposition des corps qu’ils avaient respirés en ouvrant la tombe qui avaient fini par tuer les découvreurs. Je voulais juste ne pas prendre de chance au cas où. Je retenais ma respiration en dissipant le petit nuage avec la main, mais lentement pour ne pas attirer l’attention des femmes.
    
    Quand ce fut fait, je respirai un bon coup en reprenant ma bite pour recommencer à me masturber en fixant les filles nues et resplendissantes.
    
    Jésus-Christ ! J’allais-tu finir par me finir ?
    
    Mais là… j’entendis un grognement rauque et profond sur ma gauche, provenant du chemin. Les femmes aussi l’avaient entendu, les yeux déjà tout ronds elles regardaient dans cette direction, complètement affolées, et Marie croisa les mains sur ses seins. Pourquoi ? Mystère.
    
    Ça grogna encore… et plus près.
    
    Tout mon corps devint électrique, mes cheveux ultra-courts coupés en brosse se dressèrent quand même et ma bite dégonfla dans ma main en un clin d’œil. Je la lâchai, elle tomba en se balançant et mon gland fixa Gaya.
    
    L’autre mâle du coin arrivait et il était bien plus imposant que moi… Aucun doute là-dessus.
    
    Les filles, déjà blanches comme des zombies, se levèrent pour se réfugier derrière leurs chaises, prêtes à s’enfuir.
    
    L’ours apparut en ...
    ... soufflant bruyamment, dodelinant de la tête. Une bête énorme et d’un noir bleuté fascinant suivi par un tas de grosses mouches noires. Le même que tout à l’heure probablement. Je m’ennuyais dema blonde tout à coup. Les longues griffes brunes de ses pattes avant labouraient la terre battue tandis qu’il passait sans s’occuper de nous.
    
    Je le perdis de vue à cause du 4x4, puis j’entendis la suspension de la roulotte grincer et je la vis tanguer. La porte était sans doute restée ouverte et il avait senti la bouffe. Un brouhaha épouvantable en parvint.
    
    — On va dans le camion ! ordonna Pierrette apeurée en courant vers le 4x4 toujours flambant nu. Mon auto estbarrée, mes clefs sont dans la roulotte.
    — Moi aussi, j’ai barré les portes, ma tante, pis les clefs sont dans mon sac, dans la roulotte aussi, dit Marie paniquée, à nouveau les mains croisées sur ses seins.
    
    Étrange.
    
    Pétrifié de peur j’enregistrais tout ça bouche ouverte. Si l’ours fonçait sur elles, je ferais quoi ? Je ferais comme Suzanne, j’essaierais de lui faire peur en faisant du bruit et en criant, en tout cas j’essayerais. Je détournerais son attention pour qu’elles puissent s’enfuir et je courrais comme un damné. Et Dieu sait que ça court, un damné. Mais elles penseraient quoi de me voir surgir du bois, tout nu, justement au bon moment ? « Tant pis », me dis-je, « un problème à la fois ».
    
    —Câlice ! lâcha Pierrette en retournant derrière la chaise. On fait quoi ? Pis arrête de cacher tes boules, c’est un ...
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