Caroline et la famille (7) - Histoires de Sexe

Caroline et la famille (7)

... répondis pas à nouveau, et monta les escaliers jusqu’à ma chambre tout en me posant des questions sur ce qu’il voulait me dire par « me mettre à quatre pattes ». Voulait-il que je sois dans cette position pour le sucer ou pour me faire l’amour ? Bien que lui et moi n’avions pas signé de contrat, nous nous étions mis d’accord sur le fait que si je le suçais quand il voulait et n’importe où, il n’irait pas plus loin dans ses actes. Il est clair que mon père semblait être quelqu’un d’imprévisible, mais qu’il était dans son intérêt de garder sa parole concernant notre deal. Il avait compris que j’étais consentante à le sucer, mais que s’il tentait d’aller plus loin avec moi, je ne lui ferais plus de fellation.

Une fois dans ma chambre, j’ai donc mis un t-shirt après avoir essuyé le sperme qui restait sur mes lèvres et je me suis mise à quatre pattes sur le lit. J’avais les genoux légèrement décollés l’un de l’autre et posés sur le lit. Mon dos était à l’horizontale et mes mains tendues étaient posées sur le lit. Je m’étais placée en travers de mon lit qui était collé à un mur de manière à avoir mes pieds collés au mur et ma tête en direction de la porte de ma chambre. Je m’étais placée ainsi pour pas qu’il voie mon cul qui l’excitait tant et ne pas le tenter à commettre l’irréparable.

Mon père entra dans ma chambre sans frapper. Il mit très peu de temps à venir me voir, à croire qu’il était presque monté en même temps que moi. Il s’avança vers moi tout en me fixant les ...

... yeux et il était si proche que je ne pouvais plus le voir. La seule chose que je voyais était une petite bosse sous son jogging qui se trouvait à quelques centimètres de mon visage. Je n’arrivais pas à comprendre. Je venais juste de le sucer et de le faire jouir que voilà, il bandait à nouveau. Qu’est-ce qu’il pouvait tant l’exciter pour qu’il rebande aussi vite ?

Il souleva d’un doigt mon menton pour que je le regarde et me dit :

— Qu’est-ce que ça peut m’exciter de te voir aussi soumise !

Je venais d’avoir ma réponse. Ce n’était pas que mon corps qui faisait monter son excitation, mais aussi le fait qu’il puisse faire tout ce qu’il voulait de moi.

Toujours en me tenant la tête par le menton, il me dit d’un ton vulgaire :

— Ça t’a plus de sucer ma bite ?

Attendant une réponse de ma part, je lui ai dit :

— Non. Tu ne m’avais pas laissé le choix.

— Et si je t’avais laissé le choix ? répliqua-t-il.

— Oui, lui répondis-je sans même prendre le temps d’y réfléchir.

Je suis devenu tout rouge de honte, sans compter que son regard me perçait les yeux. Je venais de me trahir. Je venais de dire à mon père que j’avais apprécié de lui avoir sucer sa queue. J’étais foutue. Non seulement j’avais montré à mon père que je pouvais lui être soumise, mais je venais aussi de lui montrer que j’étais plus accessible que je ne le laissais paraître. Avec ce simple « oui », je venais d’effacer mon image de la fille rebelle et forte.

Sans que je n’aie vu venir, je me pris ...