Caroline et la famille (7) - Histoires de Sexe

Caroline et la famille (7)

CHAPITRE 7 : LA FELLATION.

Une verge énorme se présentait à quelques centimètres de mon visage. Mon père bandait si dur que l’on pouvait voir les veines de son pénis sortir. Je n’avais encore jamais vu une bite aussi épaisse, mise à part dans les films pornos. Elle était vraiment hors-norme et dégageait une odeur forte, mais pas nauséabonde.

Quand je l’ai prise dans ma main droite, je constatai que mes doigts ne pouvaient se toucher au vu de la circonférence importante de celle-ci. C’était la première fois de ma vie que cela m’arrivait de devoir me servir de mes deux mains pour tenir un pénis. Je mis mon dos bien droit de manière à me redresser et rapprochai les lèvres de ma bouche que je posai délicatement sur le bout du gland du pénis de mon père, quand celui-ci m’interrompit en me poussant légèrement la tête et en me disant :

— Lèche-moi d’abord, Caroline.

Je décollai mes lèvres de son gland et y posa ma langue pour l’effleurer. Du gland, je descendis jusqu’au haut de ses testicules et remontai ainsi en effectuant plusieurs va-et-vient très lentement. Je pouvais sentir par le biais de ma langue et de son pénis, le bien que cela lui procurait. Je me mis donc à alterner mon léchage tout en penchant son pénis dans tous les sens pour en lécher toutes les parties et ne pas rendre monotone l’acte en lui-même.

Je sentis une légère pression sur ma tête - de ses mains - pour m’inciter à lui lécher les testicules. Je descendis ma tête accompagnée de ses mains à ...

... hauteur des testicules tout en léchant sa verge. Une vue horrifiante s’offrait à moi, me montrant ses couilles garnies de nombreux poils noirs et gris.

J’avais mes deux coudes posés sur les genoux de mon père qui était assis au bord du canapé et ma tête inclinée sous ses fesses. Je m’apprêtais à le lécher en partant du bout de son anus et remonter jusqu’à ses testicules, et ce jusqu’à ce que je sente l’une d’elles peser sur ma langue. A ce moment-là, je fis tournoyer son testicule gauche sur ma langue, puis l’absorba entièrement dans ma bouche. Mon père oscillait sa tête de plaisir. Je fis de même avec son testicule droit et alternais régulièrement entre les deux en accélérant la cadence. Je pouvais sentir des gouttes sortir de son gland que je tenais fermement plaqué contre son ventre pour pouvoir accéder à toute la longueur de son pénis. Je montais avec ma langue bien humide jusqu’au bout de son gland et redescendait jusqu’à son anus à grande vitesse tout en lui bouffant parfois ses testicules. Mon père m’agrippa les épaules et il me dit d’un ton crispé :

— Arrête !... Carrrollliiineee...

Comment devrais-je le prendre ? Est-ce qu’il m’avait dit ça pour que j’arrête vraiment parce qu’il ne voulait pas jouir de suite ou est-ce qu’il voulait que je continue ? Ne sachant point, j’ai continué de le lécher, mais j’ai ralenti un peu le rythme. Ses mains qui étaient agrippées à mes épaules sont descendues sur mes avant-bras, ce qui voulait dire qu’il n’était pas contre le fait ...