Caroline et la famille (7) - Histoires de Sexe

Caroline et la famille (7)

... que je continue.

Je pouvais sentir les spasmes que son pénis avait à travers mes doigts et que de ce fait, il n’était pas loin de jouir. J’avais donc décollé ma langue de son pénis et reposé délicatement les lèvres de ma bouche autour de son gland. Mon père râla faiblement et sans le voir, je savais qu’il avait la tête à l’envers et qu’il fixait le plafond, laissant présumer une jouissance imminente. Ne le voyant point jouir, je me mis à le branler activement de mes mains tout en gardant le bout de son gland sur mes lèvres, prêtes à accueillir son sperme dans ma bouche.

Sentant le moment proche, mais ne le voyant toujours pas venir, je finis par lui faire une fellation. J’enveloppai complètement son gland avec mes lèvres, et descendit ma tête pour que sa verge se retrouve totalement dans ma bouche et racler le fond de ma gorge. Je posai mes deux mains sur ses cuisses pour m’appuyer et fis de grands va-et-vient avec ma tête. Je le suçais jusqu’au plus loin de ma gorge, arrivant même parfois à prendre son pénis entièrement dans ma bouche. J’ai continué ainsi, remontant ma tête de son gland à ses testicules une bonne vingtaine de fois à une cadence de plus en plus rythmée, jusqu’au moment où je l’ai entendu dire :

— Ça arrrriiiiiiiveeee !

Il m’avait sûrement prévenue pour que j’avale et que je ne laisse pas le sperme aller nulle part. N’aimant pas que l’on me jouisse sur le corps, les seins ou sur le visage, cela m’arrangeait qu’il ait envie de jouir dans ma ...

... bouche.

Après deux va-et-vient, son pénis se mit à trembler fortement. Un premier jet de liquide chaud entra dans ma bouche que j’avalai d’une gorgée. Son sperme semblait très acide aux premiers abords, mais le second jet que j’avalai également le semblait moins. Mon père cria fortement, comme s’il venait de recevoir un couteau en plein cœur, et une quantité impressionnante de sperme sortit de son pénis.

Il venait de jouir. La quantité de sperme étant trop importante, même en avalant de grandes gorgées, je ne pus tout contenir dans ma bouche et des gouttes se mirent à couler autour de ma bouche. Je mis mes mains sous mon visage au cas où des gouttes de son sperme venaient à tomber le sol, mais cela ne fut pas le cas. J’avais réussi à tout avaler.

Il ne me disait plus rien. Il resta immobile sur le canapé, la tête en arrière à regarder le plafond. N’ayant aucune directive de sa part, je me mis debout et lui demandai :

— Est-ce que tu veux que je te la resuce, Papa ?

— Non. Ça ira, merci, me répond-il.

J’étais soulagée qu’il ne m’ait pas demandé d’en faire plus, bien que je trouve que de le sucer et d’avaler, c’était déjà beaucoup. A peine que j’avais atteint les premières marches des escaliers, j’ai senti que le regard de mon père s’était posé sur mon cul et il me dit :

— Caroline ?!... Tu peux mettre un t-shirt si tu as froid, mais reste en petite culotte.

Je ne lui répondis pas, et il ajouta :

— Et va te mettre à quatre pattes sur ton lit !

Je ne lui ...