Isa et le vieux voyeur vicieux - Histoires de Sexe

Isa et le vieux voyeur vicieux

... consentante qui était déjà agenouillée entre les sièges…

Robert présenta sa grosse bite devant ma bouche, et je compris que je devais le sucer, ce que je fis, pendant que Nicolas se branlait en me regardant faire :

— Ma p’tite Isa, t’es un sacrée bonne suceuse et une belle petite cochonne… me dit-il en me caressant les cheveux.

Après, il m’ordonna de remonter sur le siège, à « quatre pattes », le cul tendu vers le vieux vicieux, qui me pénétra la chatte d’un seul coup.

Il me baisa violemment, avec de grands coups qui me projetaient en avant vers la bite de Nicolas, qui finit par me la mettre dans la bouche ; Tout à coup, Robert se retira et gicla sur mes fesses en manifestant bruyamment sa jouissance. Nicolas jouit presque aussitôt, mais lui, me gicla tout dans la bouche et me commanda aussitôt :

— Ne recrache pas, salope, avale tout…

Ce que je fis.

Après quoi, les deux mecs me tripotèrent un peu partout pendant quelques minutes, et Nicolas reprit le volant pour revenir vers la ville, emmenant notre voyeur pour aller le déposer chez lui. Ce qui me confirma qu’ils se connaissaient et qu’ils étaient complices. Je me demandais s’ils allaient continuer à se servir de mon corps une fois arrivés chez Robert, mais sitôt la voiture arrêtée devant le domicile de celui-ci, Nicolas fit une proposition qui me surprit énormément :

— Tiens Robert, puisqu’elle te convient, je te la prête… Descends, cochonne, et vas te faire baiser chez Robert. Tu sais, il est encore ...

... plus vicieux que moi. Mais après, il faudra que tu me racontes tout en détail.
— Oui, je te raconterai tout en détail, dus-je promettre.

Et Nicolas partit en me laissant là, pantoise, avec Robert qui me prit par les épaules et me poussa dans la cour de sa maisonnette. C’était une maison à l’écart du village, un peu isolée, quoique toute proche d’une ferme.

Robert fut d’abord très courtois. Nous ne nous connaissions pas, bien qu’il m’ait mis quelques instants plus tôt sa bite dans la bouche, puis dans la chatte ! Ce que je ne savais pas encore, c’est que Nicolas venait de m’abandonner définitivement aux appétits dépravés d’un vieux vicieux auquel, en fait, il m’avait « vendue » ! Pas pour de l’argent, mais en échange d’une autre petite coquine, Nadine, une jeune maîtresse de Robert, une petite brune fort jolie qui avait tapé dans l’œil de mon Nicolas quelque temps plus tôt. C’est ce que j’apprendrai quelque temps après. Nous avions fait, Nadine et moi, l’objet d’un « échange » entre ces messieurs !

Je me croyais vraiment très vicieuse, mais j’appris avec Robert à le devenir plus encore. Beaucoup plus. Et je n’eus pas à m’en plaindre, car moi qui avais encore peu souvent connu l’orgasme, le vrai, j’allais le découvrir vraiment avec lui. C’est avec ce vieux vicieux, en effet, que je découvris mes véritables fantasmes et la clé de mon plaisir : la soumission.

J’étais une soumise qui s’ignorais encore. Je n’allais pas tarder à me découvrir cette particularité, comme ...