Isa et le vieux voyeur vicieux - Histoires de Sexe

Isa et le vieux voyeur vicieux

... tenait sa bite en main et se masturbait en nous regardant.

— Arrête, il y a quelqu’un…, soufflai-je à Nicolas.
— Pourquoi on s’arrêterait ? S’il regarde, c’est que ça lui plait. Tu vois, tu vas pouvoir faire jouir deux mecs d’un seul coup, ma petite salope…

L’idée d’être exposée ainsi au regard d’un voyeur, d’un inconnu, m’excita tout à coup. Je m’écartai encore davantage s’il était possible, alors que Nicolas s’était déplacé pour que le voyeur puisse mieux apprécier le spectacle d’une petite cochonne penchée en avant, le cul ouvert, la chatte offerte entre ses cuisses bien écartées !

— Branle-toi, m’ordonna Nicolas.

L’homme s’était rapproché, il était maintenant tout près, derrière moi, à hauteur de Nicolas, que j’entendis dire :

— Bonjour, ça te plait, hein mon salaud.
— Ben… Oui, dit l’autre, elle est bandante comme ça…
— Tu veux la lécher ?
— Je peux ?

Je faillis me relever, surprise par cette invitation sans mon consentement, mais la voix de Nicolas m’en empêcha :

— Ecarte encore tes fesses et ta chatte que ce cochon puisse te lécher…

Je m’exécutai, et je sentis une langue se glisser dans mon sillon, aller et venir. J’en frissonnais, et je savais que ce n’était pas de froid avec la chaleur qui avait envahi tout mon être !

Juste après, je vis Nicolas se positionner entre mes jambes, et bientôt je sentis deux langues me fouiller. Ce fut divin. Je crois que j’allais jouir quand Nicolas proposa au voyeur :

— C’est un peu inconfortable ...

... ici, surtout pour Isabelle. Viens avec nous, on va aller dans la voiture.

Je me redressai et vis enfin le visage du voyeur. C’était un homme svelte, avec une fine moustache, d’allure sportive, mais beaucoup plus âgé que je ne l’avais imaginé. Sans doute la soixantaine ou plus. Nous partîmes devant, l’homme nous suivant à quelques pas. Nicolas en profita pour relever ma jupe comme il le faisait souvent quand nous marchions. L’homme devait encore se repaître de mes deux fesses bougeant au rythme de ma marche. Je me retournai : en effet, il tenait toujours sa queue à la main, et se branlait lentement en nous suivant.

Nous fûmes bientôt tous les trois dans la voiture, le voyeur sur le siège arrière et nous devant. Nicolas déplaça la voiture pour la dissimuler un peu plus. Puis, il m’ordonna :

— Passe sur le siège arrière.

L’idée qu’il allait m’offrir à un vieux vicieux aurait dû m’effrayer, et pourtant elle m’excitait… « Décidément, t’es vraiment une sacrée salope », pensai-je de moi-même. Et plus je me traitais ainsi de salope, plus je me sentais excitée.

Lorsque je fus sur le siège arrière, Nicolas nous rejoignit, et j’étais ainsi placée entre deux mecs. Deux sacrés vicieux qui s’apprêtaient à jouer avec moi. Je fus très surprise quand Nicolas appela l’homme « Robert » alors que l’autre ne s’était pas présenté. Je réalisai que mes deux gaillards étaient complices. Nicolas avait donné rendez-vous au voyeur dans ce bois, et j’allais être leur victime. Une victime ...