Isa et le vieux voyeur vicieux
Datte: 13/12/2020,
Catégories:
fhh,
hagé,
forêt,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
init,
Auteur: Isamon, Source: Revebebe
Je ne revis Nicolas que trois semaines plus tard. Entre temps, nous avions échangé de nombreux coups de téléphone, au cours desquels il me racontait des choses cochonnes, ou m’ordonnait de me peloter les seins, de me branler la chatte ou le cul. À l’autre bout du fil, il se branlait, bien évidemment, en imaginant ce que je faisais dans mon lit…
De plus en plus, je comprenais que ce garçon n’était pas « amoureux » de moi, mais que je lui inspirais beaucoup de désir, et qu’il se servait de moi pour les assouvir. Et je devais reconnaître que finalement, ça me plaisait. Nicolas était un vicieux. Mais je m’apercevais que j’étais aussi une sacrée vicieuse !
Lorsque nous nous retrouvâmes donc trois semaines plus tard, dès que je fus dans la voiture, il me dit :
— Quitte ta culotte.
J’avais mis ce jour-là une jupe ultracourte, sur sa demande. Je la relevai en me soulevant un peu de mon siège et je fis glisser ma petite culotte bleue à fleurs…
— Donne-la moi » ordonna-t-il tout en continuant à conduire.
Je la lui tendis, et comme il le faisait souvent, il la huma.
— Dis donc, t’as déjà mouillé ta culotte, petite chatte vicieuse…
Et il poursuivit :
— Puisque tu mouilles déjà, commence à te branler.
Et là, sur le siège, les jambes bien écartées, je commençai à faire aller lentement mes doigts entre les lèvres de mon sexe.
— Tu aimes qu’on te regarde quand tu te branles, hein ?
— Oui, j’aime qu’on me regarde quand je me branle…
— Et bien, puisque tu ...
... es une petite cochonne qui aime s’exhiber, tu vas être servie.
Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il voulait dire, mais je ne tardai pas à le savoir. Il engagea bientôt la voiture dans une allée forestière, et roula pendant cinq ou dix minutes. Il s’arrêta dans une sorte de clairière, qu’on ne devinait pas de la route, et je compris qu’il devait connaître le coin. Je pensais qu’il avait choisi un coin désert pour me faire accomplir quelques-unes de ses fantaisies habituelles.
— Tu vois, me dit-il dès que nous fûmes descendus de voiture, ici il n’y a personne.
— Non, c’est calme, on sera tranquille…, dis-je, déjà consentante pour quelques exercices que la morale réprouve !
Il me prit par la taille et nous avançâmes vers un petit sentier entre les fougères.
— Relève ta jupe…
Je continuai à, marcher, les fesses nues. Il marcha derrière moi, et en regardant par-dessus mon épaule, je vis qu’il avait sorti sa queue et se branlait déjà tout en marchant. J’amplifiais exprès mon déhanchement.
— Arrête-toi, lança-t-il soudain. Baisse-toi en avant, et écarte tes fesses.
Ce que je fis immédiatement.
Il s’approcha et continua à se branler en frottant le bout de sa queue sur mon cul, la projetant quelquefois contre mon petit trou du cul qui devait être bien exposé, vu ma position ! Tout à coup, en voulant me retourner pour le voir, j’aperçus les fougères bouger à quelques mètres de nous. Un homme en sortit, lentement… Il était à dix mètres de nous, pas plus… Il ...