1. Vertueuse maman (3)


    Datte: 12/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Karri, Source: Xstory

    ... aimer se faire saillir par son fils la rend folle de désir et de tension sexuelle. Soudain, d’un regard suppliant, elle me demande:
    
    — Prends-moi en levrette mon fils, je t’en prie... Je veux que tu me prennes fort !
    
    Sans avoir le temps de réfléchir, ma mère se dégage et se positionne comme une petite chienne, le cul cambré et remuant, face à mon sexe dur comme le roc. Pas besoin de me faire prier pour lui introduire mon gland dans sa jolie fente tout humide. À quatre pattes, notre rythme est plus soutenu. Je me permets de lui claquer le cul pendant que je l’empale sur ma queue. Cette dernière est aux anges, elle me dit que cela faisait longtemps que personne ne l’avait prise de la sorte, mais elle tente tout de même de conserver une certaine retenue face à moi, histoire de ne pas hurler comme une dingue sous les assauts de son fils. Mais c’est bel et bien mon but ; la faire crier comme une dingue. D’ailleurs, plus les coups s’accélèrent, plus elle a du mal à se retenir de crier, cette cochonne.
    
    Le problème c’est que, comparé à moi, ma mère a de la bouteille dans le sexe. Ainsi, la faire jouir sera sans doute plus difficile qu’il n’y paraît. Si je dis ça, c’est parce que je suis, moi, sur le point de jouir. Le cul de ma mère m’a fait un tel effet que je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps. D’un seul coup, tous mes fantasmes et mes désirs d’adolescent remontent en moi à la façon d’une éruption volcanique, chaque fois que je l’ai matée sous sa douche, en ...
    ... chemise de nuit ou même préparant le repas, tous ces moments reviennent en moi. Le mix de toutes ces émotions déclenche en moi un orgasme semblable à un shoot de dope en plein dans les veines. Les spasmes de mon sexe me font accélérer une ultime fois, me faisant défoncer la chatte de ma mère qui ne peut plus s’empêcher de hurler comme une vierge que l’on dépucelle. Elle hurle, mais elle n’a pas joui pour autant, je le sais.
    
    Je l’ai entendue tout à l’heure avec le cunnilingus, ce n’est pas tout à fait sa voix de femme qui jouit.
    
    Moi, par contre, j’ai joui comme jamais un être vivant n’a joui de son vivant. Tremblements, sueurs, étourdissements, je me permets même de lâcher un long râle de ma voix masculine, alors que jamais je n’en avais ressenti le besoin lors des précédentes expériences. Je m’écroule sur le dos de ma mère encore en levrette, ma bite toujours plantée en elle finissant de décharger les quelques gouttes de foutre restantes. Je murmure :
    
    — Pardon maman, mais... Woaw ! C’était si bon que je n’ai pas pu me retenir... Je t’ai... J’ai joui en toi...
    
    — Ce n’est rien mon chéri, tu m’as pris comme une reine, dis donc...
    
    — Oui, mais... j’aurai aimé te faire jouir aussi...
    
    — Tu sais, faire jouir une femme de mon âge est moins facile qu’une jeunette de 20 ans, c’est normal.
    
    Je me retirai de la chatte de ma mère, encore dégoulinante de notre débauche incestueuse. Je venais de réaliser mon rêve, je venais de faire l’amour à ma mère comme je l’avais toujours ...