1. Vertueuse maman (3)


    Datte: 12/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Karri, Source: Xstory

    ... qui nous séparent de son nid d’amour. En montant, elle m’offre la vue de son cul qui roule à chaque pas. Mon instinct de mâle me pousserait à la jeter sur les marches et à la prendre violemment jusqu’à la faire couiner comme une folle. Mais mon amour de fils me rattrape et me convint de rester sage, au moins jusqu’à la chambre.
    
    Nous entrons dans une pièce spacieuse, baignée par la lumière du soir qui traverse une large fenêtre donnant sur notre jardin. Un immense lit aux draps blancs s’étend face à nous. Ma mère me prend par la taille et colle sa poitrine à la mienne. Ses yeux de chatons me disent qu’elle veut se faire prendre, tout de suite, immédiatement. Elle s’assoit sur le lit en croisant ses belles jambes et me dit en souriant:
    
    — Alors, dans quel sens tu veux prendre ta mère ?
    
    Je ne pus m’empêcher de rougir en entendant cela. Ma mère, si douce et tendre qu’elle était, était aussi une immense perverse. Elle se redressa et se mit à quatre pattes sur le lit, totalement nue.
    
    — Tu veux me fesser ? me demanda-t-elle en trémoussant son derrière.
    
    Un sourire en coin, des yeux décidés, un bon élan puis CLAC ! Le bruit résonna dans la chambre tant l’impact fut puissant. Ma mère poussa un cri strident en recevant ma fessée, la pauvre fesse ayant reçu mon courroux se teinta d’un rouge écarlate en dessinant parfaitement les contours de ma main.
    
    — Eh bien ! Tu n’y vas pas de main morte avec ta pauvre mère !
    
    — C’est toi aussi maman ! Tu fais tout pour me rendre ...
    ... fou !
    
    — Dans ce cas mon fils...
    
    Elle s’allongea sur le dos, les jambes bien écartées.
    
    — Viens, allez, viens faire l’amour à ta maman.
    
    Presque machinalement, je me débarrassai de tous mes vêtements pour me retrouver aussi nu que ma cochonne de mère qui attendait déjà que je lui rentre ma queue en elle. Toute idée d’embarras ou de tabou avait complètement disparu ; maintenant, il n’y avait qu’elle et moi.
    
    Je me plaçai au-dessus d’elle, positionnant ma bite à la porte de sa fleur. Je la frotte un peu, ma mère gémit déjà en sentant l’effleurement de ses lèvres. Rien que d’entendre sa petite voix me fait l’effet d’un véritable tsunami intérieur. J’y suis, ça y est, je vais baiser ma mère. Elle est là, devant moi, elle n’attend que ça.
    
    — Vas-y mon chéri... prends-moi comme on prend une femme...
    
    Avec un ardent désir, je plantai ma lance conquérante dans le territoire inexploré de ma mère. Malgré le fait qu’elle avait déjà eu plusieurs fois l’occasion de pratiquer, je pouvais sentir mon sexe glisser entre ses parois vaginales comme dans le vagin d’une vierge. Chaque mouvement me faisait m’enfoncer un peu plus dans la chatte de ma mère. Ses bras et ses jambes m’enlacent comme pour me forcer à aller encore plus profondément en elle. Notre rythme est en harmonie totale, ma mère gémit à chaque mouvement de bassin, elle semble se lâcher de plus en plus, au fur et à mesure que j’accélère mes coups. C’est pour moi un pied total de pouvoir prendre ma mère ainsi. La voir ...