Vertueuse maman (3)
Datte: 12/12/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Karri, Source: Xstory
Nous y étions. Le moment tant attendu de ma jeunesse. Si, ado, j’avais su la tournure que prendront les événements ce jour-là, j’aurai explosé dans mon caleçon. Ma mère et moi venions de nous satisfaire mutuellement, d’une façon plus que tendancieuse, une véritable débauche concupiscente de luxure mélangée à une bonne dose de tabou social, il n’y a rien de mieux.
Me voilà face au vagin de ma mère, devant cette fente maternelle qui m’a donné la vie. Je venais de lécher le trou qui m’avait vu naître, dans le genre sexuel c’est une vraie mise en abyme personnelle. La cyprine de ma mère est abondante, elle coule entre ses bonnes cuisses jusqu’à se répandre sur le cuir du canapé. Mon regard croise le sien encore excité par l’orgasme précédent.
— C’est trop... Chéri... Il faut que tu me baises, maintenant... Viens baiser ta belle et salope de mère...
C’est assez dingue à croire, mais ma mère semblait être encore plus électrisée par ce que nous venions de faire, tellement qu’elle en était à prononcer des paroles plutôt obscènes venant d’une mère à son fils.
— Enfin maman... Tu parles comme la dernière des chiennes voyons...
— Pardon mon chéri. C’est que ça fait tellement longtemps qu’un homme ne m’a pas fait sentir femme. Tu es mon garçon, je t’aime très fort et je commence à comprendre la façon dont je t’aime réellement.
Sur ces mots, ma mère et moi nous nous redressâmes vers l’un l’autre, nos visages ne se trouvent qu’à quelques centimètres d’écart. Elle est si ...
... belle, si douce, si éclatante, si sexy, si bandante... Mes pensées se perdent dans ses yeux égrillards de la somptueuse maman aux mœurs légères. J’ose m’approcher et embrasse ma mère comme j’ai toujours voulu le faire. Ses grands yeux me signalent sa surprise ; il faut dire qu’elle ne devait pas s’attendre à ce que son fils la galoche comme une étudiante. Ébahie par mon coup de théâtre, ses yeux passèrent rapidement de l’étonnement à la lasciveté, se fermant à moitié, à demi révulsés, comme si c’était son premier baiser.
Lorsque nous nous séparâmes, un long filet de bave délimita nos lèvres. La sensation incroyable des lèvres de ma mère, j’avais eu l’impression de goûter les lèvres d’un ange, d’avoir eu une vision angélique de ce qu’était vraiment le paradis. Il ne s’agit que d’un lieu où la honte, la gêne et le regard de l’autre ont disparu, où chacun est libre d’être heureux avec la personne qu’il aime le plus. J’aime ma mère, je crois que j’en suis carrément fou. Je n’ai plus le temps de m’encombrer de l’avis des autres, je ne souhaite qu’une chose à présent: lui faire l’amour comme à la femme de ma vie, la femme que j’aime.
Ce canapé n’est pas très confortable. Vu le spectacle que je lui réserve, je préfère que ma mère et moi soyons dans un vrai lit, son propre lit tant qu’à faire. Je lui fais part de mon avis et, d’un déhanché sensuel, elle hisse son énorme croupe hors du canapé, me prend par le bras et m’entraîne vers l’escalier afin de gravir la dizaine de marches ...