La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°961)
Datte: 12/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... fond de ma gorge par des vas et viens cadencés, il sortit sa verge de ma bouche et vida son sperme en de jets épais sur mon visage, puis il rejoignit Maijia, et voulut m’acheter.
- Ah je suis désolé ! Cette chienne exceptionnelle n’est pas à vendre, c’est une caution pour une soumise qui est partie pour la journée avec un éventuel acheteur.
- Ah c’est bien dommage ! Vous êtes sûr ? Je peux Vous la payer le double du prix de la soumise qui est partie, vous n’y perdrez pas au change ! Si je pouvais avoir une chienne MDE chez moi, ma notoriété augmenterait sans conteste.
- Mais c’est justement Monsieur le Marquis d’Evans qui l’a déposée ici ce matin. Revenez ce soir, Il acceptera peut- être de vous la vendre.
- Hum, Monsieur le Marquis ?… Lui-même, en personne ? Le fameux Noble ! Ah ? Alors, je verrai… Je repasserai peut- être…
Et il partit. J’avais entendu toute la discussion. Je ne m’inquiétais pas, le Maître m’avait précisé qu’il n’avait aucunement l’intention de me vendre, il y avait peu de temps quand Wangdak en avait parlée, et c’était son ami. Alors je ne craignais pas que d’un coup Il décide de me vendre à un inconnu, imbu de lui-même. Si jamais Il changeait d’avis, j’étais sûre qu’Il veillerait à mon bien-être en me laissant à un Dominant qui saurait prendre soin de moi. Maijia revint me voir. J’étais prosternée, souillé et ...
... sale.
- Eh bien, heureusement que le sol est recouvert d’une seule pièce de linoléum ! Au moins cela se nettoie facilement, et tu vas pouvoir rester ainsi. Je n’ai pas le temps de t’emmener te laver…
Jusque-là, je n’avais pas vu les anneaux scellés dans différents endroits du mur et du plafond. Il exigea que je me plaque au mur, dos à la porte. Il attacha des menottes à mes poignets, fit passer une corde fine mais solide dans des crochets qui y étaient fixés. Puis après avoir passé la cordelette dans des anneaux du plafond, il tira jusqu’à ce que je me retrouve sur la pointe des pieds, les bras étirés en V au-dessus de ma tête. Il fixa également mes chevilles au mur. Je ne reposais au sol que sur le bout de mes orteils. La position était inconfortable, voire carrément douloureuse. Et il me laissa là, retournant dans la boutique, après avoir fermé la porte, me coupant du monde extérieur. Le temps me parut incroyablement long. Je ne sais si je restais comme ça une heure, ou plus, ou moins. Mais quand la porte s’ouvrit, je fus soulagée. J’étais épuisée par la position, tendue à l’extrême, et je pensais que tout vaudrait mieux que de la conserver… Il commença par exiger que je me mette à genoux. Il me banda les yeux et me mit un bâillon équipé d’un anneau large, qui me maintenait la bouche grande ouverte, offerte à qui le voudrait...
(A suivre …)