La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°961)
Datte: 12/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... Chienne, je peux t’utiliser comme bon me semble. Et comme j’ai un léger souci avec les toilettes hommes. Ces messieurs ont besoin de les utiliser. Alors tu vas te placer à genoux devant les pissotières bouchées, ouvrir la bouche et tu serviras d’urinoir aussi souvent qu’il y en aura besoin toute la journée.
Maijia m’enleva les pinces sans ménagement, aussi vite qu’il me les avait posé. Puis me tirant par les cheveux, il m’emmena vers lesdites toilettes. Une forte odeur d’urine empestait le lieu à cause les deux pissotières bouchées et remplies d’urine. Le vendeur me fit installer à genoux devant ces urinoirs et m’imposa d’ouvrir grand la bouche. Le premier homme commença par me malaxer les seins, puis à les claquer du plat de sa main, avant de faire pareil sur mes joues. Il aimait la couleur rouge au moment de pisser, précisant que chez lui, les toilettes étaient peintes de cette couleur.
- Tu reçois, mais tu n’avales pas ! Et tu n’en perds pas une goutte. Sinon tu seras punie.
Il prit son temps. Il commença par viser ma bouche. J’obéissais donc calmement. Mais il finit par secouer sa queue vivement, arrosant mon corps, le sol et tout autour.
- Espèce de chienne désobéissante ! Soulage mon ami, je m’occupe de toi après !
Le deuxième homme ne chercha même pas à pisser dans ma bouche, il m’aspergea volontairement des pieds à la tête, sans un mot. Quand il eut fini, il se rhabilla, et repartit avec juste un signe de tête au vendeur. Le premier m’attrapa les ...
... cheveux également sans ménagement et promena ma tête au sol et sur les murs, m’imprégnant des odeurs et des liquides mélangés des deux hommes. J’étais utilisée comme une serpillère. On me prenait pour une souillonne, une sale et vulgaire souillonne de serpillère … Et le paradoxe inavouable mais bien réel est que le fait d’être utilisée ainsi comme une sale traînée, m’excitait grandement, je mouillais abondamment, ma cyprine coulait le long de mes cuisses… tant je sentis en moi une fulgurante jouissance m’envahir toute l’échine par des petites décharges électriques alors qu’on ne me pénétrait même pas un de mes orifices ! Mais cette extrême humiliation ressentie me provoqua cet état mental et orgasmique …
- Maintenant, tu sors ta langue, et à plat ventre, en rampant tu nettoieras le sol et puis au fur et à mesure tu te relèveras pour nettoyer également les murs.
La tâche fut longue et loin d’être agréable. Les urines étaient concentrées, comme si les deux hommes n’avaient pas bu depuis un bon moment avant de se vider. Et le visiteur avait attrapé la badine du vendeur, et les coups pleuvaient. Mais je m’exécutais avec minutie, et je ne m’arrêtais que lorsqu’il n’y eut plus aucune goutte de liquide autre que ma bave. J’étais percluse de douleurs et maintenant puante et souillée, mais aussi encore très excitée par la situation. Avant de quitter l’arrière-boutique, le visiteur exigea une fellation, et quand il voulut décharger après m’avoir abondamment baisé ma bouche jusqu’au ...