La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°961)
Datte: 12/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°960) -
… où j’avais passé de mon côté une journée bien occupée… Oui bien occupée, car quand le vendeur prénommé Maijia, m’avait emmené avec lui, il me fit visiter son box. Il y avait la partie « magasin » où les soumis et soumises étaient exposés. Il n’y en avait pas énormément, peut-être une dizaine. Des toilettes, où il y avait juste la place de tenir assis sur la cuvette et d’ouvrir et fermer la porte. Et une sorte d’arrière-boutique d’environ 4mx4m, où il y avait juste un fauteuil et une commode.
- Bien, bien, bien… qu’est- ce que je vais bien pouvoir faire de toi… ? Ce n’est pas tous les jours qu’on a à sa disposition une soumise MDE marquée ! C’est même exceptionnel, comme pièce ! …On va commencer par « t’habiller » un peu.
Il se dirigea vers la commode et ouvrit le premier tiroir. Il en sortit des pinces à dents reliées par une chaîne, deux à deux. Il s’approcha de mon visage, je m’étais mise en position prosternée, cul nu bien relevé quand il avait lâché ma laisse, n’ayant pas reçu d’ordres. Il m’attrapa par les cheveux et tira brusquement vers le haut, m’arrachant une grimace de douleur, pour me faire mettre à genoux. Immédiatement, j’écartais au maximum les jambes. Il posa sans ménagement, sans préparation ses pinces, une à chaque téton, et une à chaque lèvre intime. Il retourna à nouveau vers la commode et revint avec des poids. Je ne savais pas de combien ils pesaient, ...
... mais quand il en accrocha de suite deux à la chaine reliant les seins et deux à celles reliant mes lèvres, des larmes silencieuses coulèrent. C’était une expérience que je n’avais pas encore faite, et c’était vraiment douloureux, les dents des pinces s’enfonçant d’autant plus dans les chaires tendres et les poids les étirant inexorablement vers le bas. Je restais immobile pour ne pas que le mouvement des poids n’ajoute encore à mes tourments.
Mais le vendeur même s’il n’était pas un Dominant à proprement parlé, avait un côté pervers qu’il ne cherchait aucunement à brider. Gardant la porte ouverte pour voir si de potentiels clients arrivaient et pour garder un œil quand même sur sa marchandise, il s’amusa pendant quelques minutes à donner des coups de badine sur les seins, et sur l’intérieur des cuisses, faisant exprès d’accrocher les chaînes au passage, faisant ainsi balloter les poids. Mon éducation faisait que je ne laissais sortir aucun cri, pas le moindre gémissement. Mais je serrais fortement les dents, je contractais au maximum les muscles. Je ressentais des douleurs dans tous le corps sous la tension. Je fus heureuse quand au bout d’un quart d’heure un acheteur potentiel arriva et le héla. Je relâchais petit à petit mes muscles, en faisant attention à garder une parfaite immobilité, pour ressentir un peu moins la morsure des dents des pinces. Je n’avais pas vu depuis ma place sur la boutique. Je fus donc assez surprise de voir Maijia revenir avec deux hommes.
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