Vacances de Pâques - Histoires de Sexe

Vacances de Pâques

... leurs têtes sur ses épaules, ses bras les serrant contre lui, David se tourne vers l’une, puis vers l’autre, pour de petits baisers délicieux. Elles frémissent d’aise.

— Oh ! Qu’est-ce qu’on est bien !
— Ah ! Oui, alors !
— Vous venez souvent ici ? Avec des copains ?
— Moi jamais, David. Je suis vertueuse, beaucoup plus que Liliane.
— Sophie, et ton petit masseur, pour ta cheville foulée ?
— Tais-toi, Liliane. Il ne compte pas, celui-là, tu le sais bien.

David caresse un sein à gauche, un sein à droite.

— Vous avez promis de me les montrer.
— Oui, tout à l’heure, David. Nous avons tout le temps. Mais tu peux les caresser, et même sous le soutien-gorge.

Deux petits bourgeons roulent sous ses doigts. Le temps devrait s’arrêter.

— Quand vous me les montrerez, j’y poserai mes lèvres, très longtemps. Ça vous plait, quand je pince un peu, comme cela ? Liliane ?
— Oh oui ! Continue, David, et même un peu plus fort, si tu veux.
— Et toi, Sophie ?
— Pas trop fort quand même. Ils sont sensibles… Oh ! David, je suis si heureuse !…
— Vous vous les caressez, parfois, entre vous ?
— On peut bien te le dire, à toi. Bien sûr. Mais avec toi, c’est meilleur.

Ils s’allongent sur l’herbe. Les filles s’enhardissent, elles touchent les cuisses de David, qui est en short, lui aussi. Les doigts d’Emilie grignotent en grande hâte les boutons de sa chemisette. Il les aide à ôter leurs chandails. Les soutiens-gorge, déjà dégrafés, tombent aussitôt. Liliane a des seins aux ...

... gros bourgeons bruns sur de larges aréoles. Bébé se régalera, dans quelques années. Sophie a de mignons nichons aux bourgeons qui font ce qu’ils peuvent, gonflés au maximum, mais qui restent quand même tout petits sous les lèvres de David.

— Et moi, et moi, se lamente Liliane.
— Je me demande s’il ne serait pas préférable, demain, que je sois avec une seule d’entre vous…
— Ah ! Non, alors, pas question ! Nous te partageons, David.

Liliane n’est pas de l’avis de Sophie.

— Viens ici à dix heures, demain matin, lui a-t-elle chuchoté.

Giboulée de mars, l’averse est là, il faut se mettre à l’abri. Un peu plus haut, il y a une caverne, avec des crottes de moutons sur le sol, et des bottes de foin. Ils en disposent quatre sur le sol, et s’y laissent tomber. David peut désormais à loisir sucer leurs seins, et passer la main sous leur short.

— Si vous enleviez ça ?
— Oui, mais toi, tu l’enlèves aussi ?
— Si vous voulez ! Voyez comme je bande très fort pour vous.

Il prend la main de Liliane et la pose sur son short. Puis il fait de même avec celle de Sophie. Elles ne disent rien. Liliane a tout enlevé. Une broussaille noire, des lèvres roses au milieu. Elle écarte les jambes et sourit. Sous les lèvres du garçon, elle jouit très vite.

— C’est bien mieux qu’avec Sophie. Mais c’est quand même très bien aussi avec toi, Sophie…

Sophie qui a fait glisser son short et son slip rose.

— David, fais-moi pareil qu’à Liliane.

Petit minou aux petits poils follets, ...