1. De la petite Marie à la redoutable Malika (3)


    Datte: 10/12/2020, Catégories: Hétéro Auteur: ManuLolo, Source: Xstory

    ... pétrissant et en pinçant leur grosse pointe. Je lui remontai le pull jusqu’au cou tandis que je l’embrassai dans le cou, je n’en pouvais plus d’aller d’un sein à l’autre, de les pétrir, les sucer, les lécher, les mordre..... Malika gémissait de drôle de phrases, comme "salaud, oui c’est bien, profite bien de mes gros nichons de putain".....
    
    Ses phrases et ses mots produisaient sur moi une excitation extrême. Je descendis mes lèvres d’entre ses gros seins à son ventre, puis jusqu’au nombril, décoré d’un piercing, en dessous duquel, comme dans mon souvenir, apparaissaient les premiers poils bruns qui descendaient en triangle jusqu’au pubis velu que je découvris bientôt en retirant le jean de la dame. Elle gémissait toujours : "salaud, salaud". Elle ne portait pas de culotte et la large touffe épaisse et frisée apparut, largement en friche à part un petit rasage autour des lèvres du con, lèvres percées de 4 anneaux, sur un seul côté, et desquelles coulait un miel que je voulus goûter, portant ma bouche avide entre les cuisses de Malika.
    
    ***
    
    Dans la fièvre qui m’habitait, j’eus à peine la sensation de voir la silhouette d’Oumar qui quittait discrètement les lieux, sur la pointe des pieds. Je lui en sus pleinement gré ! Peut-être aurait-il voulu ou pu participer à la fête, mais peut-être la magie sublime de l’instant aurait-elle pris fin par une intervention de sa part... On ne savait jamais quelle aurait été la réaction de Malika et si elle n’aurait pas retrouvé sa ...
    ... part la plus obscure et désagréable, nous occasionnant les pires ennuis...
    
    ***
    
    Je passais et repassais ma langue dans cette chatte juteuse, aspirant son clitoris, broutant ses poils noirs bouclés, la léchant dans l’aine, sur les cuisses, je ne pouvais me rassasier de ce corps de déesse ! Il fallait que je la baise encore, au grand jour et en pleine conscience cette fois. J’ouvris ma braguette et sortis difficilement ma queue que j’enfournais tout de suite et directement dans sa grosse chatte bien large. Je n’étais pas très serré, mais je pilonnais son sexe avec bonheur, repassant les mains sous son pull pour caresser ses énormes seins, ses aisselles naturelles non rasées sur lesquelles je passais rapidement ma bouche avide. Je la touchais partout où je pouvais, sans interruption, tout en la besognant à grands coups de queue.
    
    — Retourne-moi, salaud, dit-elle soudainement, ce que je fis, pendant qu’elle accompagnait complaisamment le mouvement, m’offrant son large groupe. Sa chatte était largement ouverte, sous sa toison épaisse et étendue qui se poursuivait jusqu’à son petit. Je pris ses hanches et approchai mon gland du con lorsqu’elle intervint de nouveau :"non, pas par là, prends-moi le petit, encule-moi". Elle passa la main entre ses cuisses et entreprit de glisser directement 3 doigts, puis 4 dans son sexe. J’enduisis sa rondelle de ma salive et approchai ma queue de son petit entouré de poils noirs. J’entrepris doucement de l’enculer, en empoignant ses hanches ...