1. De la petite Marie à la redoutable Malika (3)


    Datte: 10/12/2020, Catégories: Hétéro Auteur: ManuLolo, Source: Xstory

    ... Malika, apparemment seule.
    
    — Ouvre, ou je fous le feu à ta porte.
    
    — Qu’est-ce que tu veux faire ?
    
    — Je veux ton ordi et ton putain de téléphone pour être sûre que mes photos ne traînent pas n’importe où. Donne-moi tout ça ou je reviens accompagnée.
    
    — OK...
    
    Je détachai la chaîne et Malika entra brutalement, me poussant dans le couloir. Elle était vêtue d’un jean bleu ciel, de hautes boîtes noires et d’un pull de laine, couvert d’un blouson de cuir. Elle était très impressionnante et je fus à deux doigts de me déballonner devant elle, d’implorer son pardon et d’être aussi minable qu’elle le pensait. Je voyais son regard méprisant qui me fixait et semblait me haïr, ce que -pour la première fois- je pouvais aisément admettre. Mais toutes les images me revinrent en tête, celle de l’appareil photo et surtout celles de la nuit où je l’avais baisée malgré elle. Curieusement, elle ne semblait pas s’être aperçue de mon passage nocturne entre ses cuisses.
    
    Je me sentis soudain envahi d’une soudaine énergie et d’une rage subite, je me mis contre elle et l’empoignai des deux bras tandis que, étonnée, elle tentait de se dégager de mon étreinte. Elle voulait me griffer ou me frapper et je parvins à repousser ses bras derrière elle, je voulais la bloquer au sol :
    
    — - Calme-toi Malika, je vais tout te rendre, mais j’en ai marre de ton attitude de merde et de tes grands airs alors que tu n’es qu’une grosse salope uniquement bonne à se faire bourrer sa grosse ...
    ... chatte !
    
    Elle tomba sur le canapé puis sur le tapis du salon, toujours agrippé à elle, je l’avais accompagnée dans son mouvement et étais dorénavant allongé sur elle, la bloquant sur le dos en tenant ses bras. Elle était très forte et j’avais du mal à la maintenir ainsi. En même temps, je sentais son corps de déesse de la fertilité, ses cuisses, sa chair ferme et ses gros seins appuyés contre mon torse. Le moment était étrange, je détestais cette fille et pourtant j’étais excité à l’extrême par la situation et m’énervais de son ressentiment à mon encontre, celui qu’elle avait exprimé sans un mot au premier instant de notre rencontre professionnelle. Paradoxalement, cette haine décuplait mon désir et mon envie soudaine de reprendre le dessus, de retourner cette situation de domination.
    
    Elle dut sentir qu’il se passait quelque chose en moi car elle cessa un instant de se débattre et son regard devint moins dur pendant une fraction de seconde. Elle reprit ses mouvements, mais cessa lorsque je me retrouvai la queue durcie contre elle et qu’elle ressentit l’objet de mon excitation.
    
    — Espèce de salaud, tu veux me violer maintenant ? Je sens ta grosse queue de porc.
    
    Je sentis ses bras se relâcher et s’étendre en croix sur le tapis. Je descendis les mains sur ses hanches pleines et elle frémit lorsqu’elles touchèrent sa peau à la douceur de satin. Elle était bien en chair et je remontai encore les mains entre sa peau et la laine douce du pull. Je pris ses gros seins à pleines mains, les ...