1. CINE FOLIE 2


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Hardcore, Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... pas partir sans finir la visite, quand même ! » sa main me saisie le bras et il me tire vers le fond du couloir.
    
    Je proteste, me débat, mais je n’ai plus de force. Il me jette littéralement dans les toilettes pour hommes et je tombe au sol. L’endroit est beaucoup plus sale ici. Une forte odeur de vieilles urines agressent mon odorat. Six urinoirs sont alignés contre le mur et deux marches conduisent à un chiotte à la turc, ouvert à tout vent, sa porte étant défoncée.
    
    Un homme pisse, tourne la tête et me regarde à terre, je n’en peux plus, cela devient un vrai cauchemar. Je me relève et essaie de forcer le passage entre deux types qui viennent de rentrer, mais rien à faire.
    
    C’est alors qu’ils s’avancent tous, en ligne, vers moi. Comme un a****l traqué, je me blottie à l’angle du mur. Je suis maintenant acculée, sans espoir d’échappatoire.
    
    Une voix s’élève. « Fou toi à poil ! ».
    
    Ça, il n’en ai pas question et je ne bouge pas. « FOU TOI A POIL ! »
    
    Cette fois, j’ai vu qui a hurlé ça. C’est le golgoth de deux mètres, appuyé au mur à ma droite. Il tient dans la main un organe de longueur impressionnante, mou, qu’il secoue dans tout les sens. J’ai trop peur. Mes gestes sont saccadés et ne sont plus coordonnés. Quatre mains viennent retirer mon manteau.
    
    Je suis vaincue, terrassée et je laisse faire. « Continue seule ! ». Me servant du mur comme appuie, je retire mes bottes, me semblant être les éléments les moins importants. Ainsi, il me semble retarder ...
    ... l’échéance finale.
    
    « Continue ! »
    
    Je me penche et aperçois mes bas filés. Intérieurement, j’en rigolerai presque, car j’ai l’impression que je les arnaque. Je roule le premier et le dépose à terre. Puis le second, lentement, très lentement, espérant sans cesse qu’un événement me sortira de là. Mais rien. Je pose le second sur le carrelage et reste prostrée à terre, recroquevillée sur moi-même. L’excitation du coté des hommes est grandissante. Ils sortent tous à tour de rôle leurs membres gonflés. Je ne bouge plus. Mais la haut, la voix recommence à hurler.
    
    « DEPECHE TOI ! »
    
    Je me relève doucement, en me frottant aux murs. Si ils pouvaient m’absorber, comme ça, d’un coup.
    
    De nouveau debout, je porte mes mains à ma bouche, tremblante.
    
    « CONT…. » « Oui, oui, ne criez pas, ne criez pas, s’il vous plais ne criez pas » ma voix sanglotante accompagne le premier geste fatidique.
    
    Je croise les bras, att**** mon pull de chaque coté de mes hanches et le soulève lentement. Je sens mes seins monter et ensuite retomber au passage de la laine. Nerveuse, j’ai du mal à me dépêtrer des manches. Une fois fait, l’humiliation ne pouvant pas être plus grande, je reste les bras ballant le long du corps. Pas plus grande ? C’est ce que je crois.
    
    « Vire ta jupe, salope ! »
    
    Je lève mes yeux et je dévisage chaque types un par un comme pour les affronter une dernière fois. Ca se bouscule pour rentrer, j'ai l'impression que tout le cinéma c'est donné rendez-vous dans les chiottes et que ...
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