1. CINE FOLIE 2


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Hardcore, Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... jambes, seules mes mains essaient de repousser la masse qui s’écrase contre moi. Son gland glisse à plusieurs reprises sur ma chatte, venant frapper mon clito. L’orifice rétréci par la pénétration anale, ne lui simplifie pas les choses. Dans un dernier réflexe, mon regard l’implore de renoncer et je lui fais non de la tête. Il me regarde, me fais un grand sourire et me dit « si ! »
    
    Il pousse un grand coup et frottant à travers ma paroi le sexe de l’autre homme, viens cogné mon utérus avec rage. Une onde de choc me parcoure et je pense défaillir lorsque les deux pistons se mettent en marche. Quand l’un rentre, l’autre sort, ainsi de suite. Il me semble avoir été ouverte en deux. Mais aussi incroyable que cela puisse paraître, une émotion intense s’empare de moi. Mes nerfs lâchent, des sanglots plein de béatitude sortent doucement de ma bouche, des larmes de satisfaction coulent sur mes joues rougies et je jouis comme une chienne. Mon corps est porté par un bonheur intense. Il me semble flotter.
    
    Deux explosions en moi presque synchronisées, m'inondent de liqueurs bouillantes. Une chaleur intense envahie mon corps tout entier. Les râles de plaisirs se calment et s’estompent. Les corps ralentissent et s’arrêtent. Nous respirons très fort et avons beaucoup de mal à calmer nos pulsations. Je m’étonne de constater que mes bras sont autour du cou du vieux et ma tête sur son épaule. Mes jambes qui enserrent sa taille se relâchent. Ces bras les laissent reprendre contact avec ...
    ... le sol. Les mains relâchent mes hanches, mes seins. Le vieux se dégage le premier et je devine un flot de sperme coulant sur mes cuisses, mes bas. Puis, le jeune, se retire avec tant de douceur que j’oublie la v******e dont il a fait preuve., me disant qu’ils ont bien eu raison et que je suis certainement la reine des salopes, je me retourne et embrasse avec fougue mon tortionnaire. Mais sa gentillesse s’arrête là. Il jette un rouleau de papier dans le lavabo et sort en riant avec le vieux.
    
    Je me retrouve une fois de plus seule, au milieu des ces chiottes, dans un état lamentable. Le miroir semble se moquer de moi en me montrant mon maquillage qui dégouline sur mes joues, mes cheveux collés par la chaleur et ma jupe coincée dans l’élastique laissant apparaître une fente dégoulinante. Une nouvelle bouffée de honte s’empare de moi. Puis, fatiguée, je recherche de nouveau à retrouver une apparence plus digne. Trois rouleaux de papier plus tard, c’est presque fait. A par les taches humides sur mon pull et ma jupe, toutes les traces d’agressions ont disparus.
    
    Je vais enfin pouvoir rentrer chez moi, et c’est avec un sourire à peine dissimulé que je sors dans le couloir. Je tourne à droite pour rejoindre la porte donnant accès à la salle et je percute un homme qui attend. Je m’excuse et le contourne pour passer mais il tend sa jambe et pose son pied sur le mur d’en face pour faire barrage. Décontenancée, j’essaie de passer en dessous, mais il baisse la jambe.
    
    « Vous n’allez ...
«12...456...»